3 avril 2008
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Pionnier du happening avec Claes Oldenburg, Allan Kaprow et John Cage, et du Pop Art avec Andy Warhol, Roy Lichtenstein et Tom Wesselman, Jim Dine s’impose plus que jamais comme un artiste essentiel de l’art américain d’après-guerre.
Sa première exposition date de 1958 à la Judson Gallery de New York. Il a par la suite exposé à la galerie Ileana Sonnabend de Paris dès 1963 et à la Pace Gallery de New York à partir de 1980. Bois, lithographie, photographie, métal, pierre... il utilise toutes les techniques pour en bouleverser les règles et les pousser à leurs extrêmes limites. Pour lui, l’outil et le processus de création sont aussi cruciaux que l’œuvre achevée.
L’oeuvre de Jim Dine a été exposée à travers le monde entier, notamment ces dernières années, au Minneapolis Institute of Arts, Minnesota (2003) ; à la National Gallery of Art, Washington D.C. (2004) ; au SK Stiftung Kultur, Cologne (2004) ; au Frederick R. Weisman Museum of Art, Malibu (2007).
Son œuvre est présente dans de nombreuses collections internationales dont The Brooklyn Museum à New York, le Cincinnati Art Museum dans l'Ohio, le Centre Georges Pompidou à Paris mais également le Tokyo Metropolitan Art Museum, le Stedelijk Museum d'Amsterdam, l'Israel Museum de Jerusalem, le Hirshhorn Museum and Sculpture Garden de Washington, le Modern Art Museum of Fort Worth au Texas et enfin le San Diego Museum of Contemporary Art et le Moderna Musset de Stockholm.
A noter...
Jim Dine
Pinocchio
12 avril – 28 mai 2008
Vernissage samedi 12 avril, de 12h à 20h Galerie Daniel Templon Impasse Beaubourg, 75003 Paris
Du mardi au samedi de 10h à 19h
www.danieltemplon.com
Portraits & interviews d'artistes sur CultureCie...
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Portraits & Bios
3 avril 2008
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"Un Tramway nommé désir", de Tennessee Williams, se joue à Lyon du 4 avril au 17 mai 2008 dans une mise en scène d'Arlette Rachel Azran.
Ecrite en 1947, mise en scène puis portée à l’écran en 1951 par Elia Kazan, "Un tramway nommé désir" se déroule dans la moiteur estivale du quartier du Vieux Carré à la Nouvelle Orléans. Blanche Dubois arrive à la Nouvelle Orléans. Elle prend un tramway nommé "Désir" et finit par atteindre l'appartement minable que sa sœur Stella habite dans le vieux quartier français de la ville. Stella vit avec son mari, un contremaître américain d'ascendance polonaise, Stanley Kowalski. Pour Stan, Stella a abandonné la plantation familiale, et du même coup son rang aristocratique. Ce dernier n'apprécie guère l'arrivée de sa belle-sœur qui affecte des manières distinguées et des scrupules moraux surannés… Entre Stella et Stan, beaucoup de désir, qui arrange sur l’oreiller leurs malentendus et les débordements du mari, joueur et violent à ses heures.
Contrairement à sa cadette, Blanche est restée le plus longtemps possible à « Belle Rêve », la propriété familiale avant d’en perdre la dernière parcelle en hypothèque. Vieille fille et ruinée, désormais chômeuse, elle camoufle son désarroi et sa fragilité sous des manières, des vêtements, et surtout des rêves de princesse. Le besoin de Blanche de poétiser une réalité insupportable à ses yeux, son attitude en totale et violente opposition avec le réalisme de Stanley, son incapacité à trouver sa place sur terre, son espoir déçu de se marier avec Mitch et son sudisme désuet la poussent à la dérive… Blanche s’évade dans ce qu’on nomme « la folie » et finit hors du réel.
Tennessee Williams, comme à son habitude, concentre toutes les passions humaines dans un endroit clos jusqu'à ce que tout explose… et nous présente sa vision des êtres : des hommes et des femmes en perdition et cependant, une lueur d'espoir, une étoile qui scintille dans les Ténèbres se fait jour...
A noter...
"Un Tramway nommé désir", de Tennessee Williams
Mise en scène : Arlette Rachel Azran
Avec : Véronique Jacquemin, Emmanuel Courtieu, Wendy Martinez, Mathilde Nossit, Vincent David, Agnès Faye, Etienne Perrier, Thierry Carrillo
Du 4 avril au 17 mai 2008
Au Théâtre de l’Anagramme
A 20h30 sauf dimanche 16h00
Théâtre de l’Anagramme
27 rue Royale 69001 Lyon
Metro Hôtel de ville
Réservations : 04 78 27 83 12
Tarifs : 10 euros / 8 euros TR
Le théâtre sur CultureCie...
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Théâtre
2 avril 2008
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L’exposition événement de l’oeuvre de Louise Bourgeois, organisée avec la Tate Modern de Londres, rassemble dans trois espaces du Centre Pompidou près de 200 oeuvres, peintures, sculptures, dessins, gravures réalisés de 1938 à 2007.
Cette rétrospective commence dès le forum avec une araignée géante en bronze et acier, encore jamais montrée en Europe. En Galerie 2, sur plus de 900m2, un parcours chronologique permet de découvrir les principales oeuvres de Louise Bourgeois tout en donnant une large place aux dix dernières années de création de l’artiste qui, à plus de 95 ans, ne cesse de renouveler son langage artistique.
L'exposition est présentée en deux parties : un parcours chronologique dans la Galerie 2 et une "exposition dans l'exposition" dans la Galerie d'art graphique du Musée, réunissant dessins, gravures et sculptures de petit format pour rendre compte de la permanence de certains thèmes et de la diversité des techniques et matériaux employés.
La Galerie d’art graphique propose « Tendres compulsions », une exposition plus intime, conçue à la manière d’un cabinet de curiosités. Mettant en relief le lien profond qui existe entre les différents moyens d’expression de l’artiste, cette partie de l’exposition révèle la permanence de certains thèmes obsessionnels, ue Louise Bourgeois a déclinés tout au long de sa vie avec des matériaux variés. On y découvre également les oeuvres sur papier les plus récentes de l’artiste, caractéristiques de son « style tardif ».
Crédits photos...
Spider, 1997 Acier, tapisserie, bois, verre, étoffe, caoutchouc, argent, or et os 445 x 665.4 x 518 cm - Private collection, courtesy Cheim & Read,New York - Photo: Frédéric Delpech - © Louise Bourgeois © Adagp, Paris, 2008
Extrême Tension, 2007 (detail) - Gravure, encre et crayon sur papier - 58 1/2 x 64" - 148.5 x 162.5 cm - Collection privée, courtesy Osiris, New York - Photo: Benjamin Shiff © Adagp, Paris, 2008
Louise Bourgeois in 1990 with her marble sculpture Eye to Eye, 1970 - Photo: Raimon Ramis © Adagp, Paris, 2008
A noter...
Louise Bourgeois 5 mars – 2 juin 2008
Centre Georges Pompidou
Exposition ouverte tous les jours de 11h à 21h, sauf le mardi et le 1er mai
Tarifs: 10 à 12 euros,
Tarif réduit : 8 à 9 euros
Billet valable pour le Musée national d’art moderne et l‘ensemble des expositions
Billet imprimable à domicile sur www.centrepompidou.fr
Accès gratuit pour les moins de 18 ans et les adhérents du Centre Pompidou (porteurs du Laissez-passer annuel)
Renseignements au 01 44 78 14 63
Louise Bourgeois sur CultureCie...
La biographie de Louise Bourgeois
"Tendres compulsions" à la galerie d'art graphique
Les expos sur CultureCie...
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Peinture - dessin - sculpture
2 avril 2008
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Si l'on voulait s’offrir un contraste saisissant avec la dizaine de foires qui se tenaient à New York en cette fin de mois de mars 2008, on pouvait s'offrir une visite à la Biennale du Whitney Museum : en rupture totale avec les années précédentes, le Whitney a choisi pour thème l’éphémère, la lenteur et même l’échec, selon les dires de ses jeunes commissaires d’exposition, Henriette Huldish et Shamim M. Momin.
Si les éditions antérieures de la Biennale du Whitney avaient un côté glamour et mode, cette année, c’est la simplicité qui prime avec une majorité d’oeuvres à l’esthétique peu attrayante, voire carrément repoussante. Le contenu est plutôt compliqué voire incompréhensible, en l’absence totale d’explications concernant l’artiste, son parcours et sa démarche. Beaucoup de collages, d’assemblages à partir de matériaux modestes, voire de détritus. Beaucoup de collaborations également, pour des oeuvres qui paraissent instables et ne résolvent rien, mais qui se situent plutôt dans le domaine de l’incertitude et de l’interrogation.
Il est certain que cette fois-ci, on ne pourra pas accuser la Biennale d’exposer des artistes qui sont déjà « validés » par le marché. Il est difficile de savoir qui, en dehors des artistes déjà établis mis à l’honneur comme John Baldessari, connaîtra le succès que la précédente Biennale avait concocté à Marylin Minter ou Rudolf Stingel.
Le mérite de la Biennale 2008 est donc de montrer des oeuvres nouvelles, puisque la majorité ont été créées spécialement pour l’occasion. Exposition exigeante, elle demande de l’attention et du temps de la part du visiteur afin d’appréhender des oeuvres difficiles et souvent longues, comme les nombreuses vidéos. Certaines méritent vraiment que l’on s’attarde, comme celle de Javier Tellez produite par Creative Time, qui réinterprète avec des aveugles new-yorkais une vieille fable Indienne sur les incertitudes et les difficultés de la perception. Expérience très différente du marathon des foires, la Biennale du Whitney Museum est peut être plus proche du climat économique américain actuel, et permet de mettre en perspective les récents excès du marché de l’art.
Crédits photos...
John Baldessari, Arms & Legs (Specif. Elbows & Knees), Etc.: Elbow (Blue) with Desk, 2007. Three-dimensional digital archival print laminated with polycarbonate resin and mounted, with synthetic polymer, 59O x 98O in. (151.8 x 250.8 cm). Private collection © 2008 Whitney Museum of American Art
Javier Téllez, Production still from Letter on the Blind For the Use of Those Who See, 2007. 16mm film transferred to high-definition video, color, sound; 27:36 min.. Collection of the artist; courtesy Peter Kilchmann Galerie, Zurich. Commissioned by Creative Time, New York, as part of Six Actions for New York City, co-produced by Peter Kilchmann Galerie, Zurich © 2008 Whitney Museum of American Art
Sur le web...
Exclusive interviews with Biennial artists Walead Beshty, Jedediah Caesar, MK Guth, Fritz Haeg, Ellen Harvey, Charles Long, Neighborhood Public Radio, and Bert Rodriguez are on view now. Videos with Lisa Sigal and Biennial curators Henriette Huldisch and Shamim M. Momim will be posted in the coming days.
Subscribe to the Whitney's video podcasts through iTunes.
View the videos on YouTube or Blip.tv.
A lire aussi : New York sur CultureCie...
“I Want to believe” : Cai Guo-Qiang au musée Guggenheim
Les foires d'art contemporain, de l'Armory Show à Pulse en passant par Volta
Subodh Gupta, Tabaimo et TianBing Li à l'honneur dans les galeries new-yorkaises
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Installations - expos mixtes
2 avril 2008
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Car Clutch est un duo formé par Brendan Fowler (BARR, New England Roses) et Ethan Swan (Emergency, Corpsekisser). Le groupe s'est formé en 2006 et a joué à New York, Londres, Los Angeles et au festival Art Basel de Miami entouré de tous, de Gang Gang Dance à Lucky Dragons. Ils nous livrent ici une programmation fabriquée sur une batterie chargée et insistante, entourée de piano et de percussions. "Act Neutral" est une véritable ode à New York.
A noter...
Chez Colette
213 rue Saint-Honoré 75001 Paris
01 55 35 33 90
Ouvert du lundi au samedi de 11h à 19h
Métro Tuileries ou Pyramides
Egalement disponible sur l'eshop A voir aussi sur CultureCie...
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CDs
2 avril 2008
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Après le succès qu'Axel Dorsey a rencontré en novembre dernier, il revient en février 2008 avec son spectacle magique. Pour les petits et les grands !
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Jeunesse
1 avril 2008
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«Je m’appelle Louise Joséphine Bourgeois. Je suis née le 25 décembre 1911 à Paris. Tout mon travail des cinquante dernières années, tous les sujets, trouvent leur source dans mon enfance.»
Née en France en 1911 et vivant à New York depuis 1938, Louise Bourgeois est une des artistes majeures de la fin du 20e et du début du 21e siècles. Traversant divers mouvements artistiques comme le surréalisme, l'expressionnisme abstrait, le minimalisme, elle développe un langage personnel qui rejoint les pratiques les plus contemporaines et exerce une grande influence sur de nombreux artistes. Son oeuvre, qui oscille entre figuration et abstraction, obéit à une logique subjective, basée sur l'émotion, la mémoire, la réactivation des souvenirs d'enfance.
L’oeuvre de Louise Bourgeois, singulière à plus d’un titre, échappant à toute classification esthétique, oscille entre géométrie abstraite et réalité organique, l’artiste usant de toutes les formes et de tous les matériaux au gré de ses besoins d’expression. Elle passe ainsi de la rigidité du bois dans les années 50, à la liquidité du plâtre et du latex dans les années 60, pour se consacrer au marbre et au bronze dans les années 70-80. À partir des années 90, elle constitue des environnements intitulés « Cellules », faits d’objets trouvés et suggérant des émotions, des sensations ou des souvenirs d’enfance : «mon enfance n’a jamais perdu sa magie, elle n’a jamais perdu son mystère, ni sa dimension dramatique» confie l’artiste.
Depuis le milieu des années 90, elle a recours au tissu, aux vêtements, pour fabriquer d’étranges figurines, des couples enlacés, des colonnes et des têtes. Fille de restaurateurs de tapisseries anciennes, les motifs de la couture, du fil, de l’aiguille sont présents tout au long de son oeuvre et aboutissent à la figure maternelle et protectrice de la grande fileuse que représente pour elle l’Araignée. Une version monumentale de l’araignée, intitulée Maman (1999) est d’ailleurs présentée dans le jardin des Tuileries.
Ses thèmes de prédilection sont la maternité, le couple, l’enfance, le corps, la sexualité, l’ambivalence féminin-masculin: autant de problématiques d’ordre intime et autobiographique qui en font une référence majeure pour l’art contemporain. L’art et la vie sont pour Louise Bourgeois indissociables: « Ma sculpture est mon corps, Mon corps est ma sculpture ». La création artistique est une façon de revivre ses émotions, de leur donner forme de les exorciser. « Il faut abandonner le passé tous les jours ou bien l’accepter. Et si on n’y arrive pas, on devient sculpteur ».
Si Louise Bourgeois est aujourd’hui considérée comme l’une des artistes les plus importantes de la seconde moitié du XXème siècle, son œuvre est longtemps restée confidentielle, avant de faire l’objet d’une reconnaissance internationale à partir de 1982, date à laquelle le Moma de New-York lui consacre une rétrospective.
Exposée en France en 1985, à Maeght Lelong à Paris, en 1989 à la galerie Lelong, puis au Musée d’art contemporain de Lyon en 1990, elle fera l’objet de deux expositions à Paris en 1995: au Centre Pompidou, à la galerie d’art graphique (Pensées-plumes, les dessins de Louise Bourgeois) et au Musée d’art moderne de la Ville de Paris. En 1998, le capcmusée de Bordeaux présente ses oeuvres récentes.
Louise Bourgeois a été présentée depuis les années 90 dans les grandes expositions internationales, Biennale de Venise, Lion d’Or, en 1999, Documenta, etc.
Sa dernière grande exposition rétrospective était à Madrid au Reina Sofia, en 1999 mais il faut citer également l’Ermitage de Saint Petersbourg en 2001 et Bregenz en 2002.
Crédits photos...
Louise Bourgeois in 2007 6 Photo: Dimitris Yeros © Adagp, Paris, 2008
Louise Bourgeois in 1990 with her marble sculpture Eye to Eye, 1970 - Photo: Raimon Ramis © Adagp, Paris, 2008
Extrême Tension, 2007 (detail) - Gravure, encre et crayon sur papier - 58 1/2 x 64" - 148.5 x 162.5 cm - Collection privée, courtesy Osiris, New York - Photo: Benjamin Shiff © Adagp, Paris, 2008
A noter...
Louise Bourgeois
5 mars – 2 juin 2008
Centre Georges Pompidou
Galerie d’art graphique, niveau 4
Exposition ouverte tous les jours de 11h à 21h, sauf le mardi et le 1er mai
Tarifs: 10 à 12 euros,
Tarif réduit : 8 à 9 euros
Billet valable pour le Musée national d’art moderne et l‘ensemble des expositions
Billet imprimable à domicile sur www.centrepompidou.fr
Accès gratuit pour les moins de 18 ans et les adhérents du Centre Pompidou (porteurs du Laissez-passer annuel)
Renseignements au 01 44 78 14 63
Les expos sur CultureCie...
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Portraits & Bios
1 avril 2008
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TianBing Li - Beth Phillips Photography
Si la fin du mois de mars new yorkais était habité par les diverses foires d'art contemporain qui se tenaient dans la ville, les galeries n'étaient pas en reste. Les visiteurs se pressaient d'ailleurs à Chelsea, où les galeries avaient organisé des visites privées lors de petits déjeuners ou de brunches. Trois expositions ont particulièrement attiré notre attention: celle de l’artiste indien très en vue Subodh Gupta, chez Jack Shainman, celle de la japonaise Tabaimo chez James Cohan et enfin les nouvelles toiles de TianBing Li, actuellement présentées dans la très exclusive galerie L&M.
Parmi les expositions en cours, nous avons retenu celle de l’artiste indien très en vue Subodh Gupta, chez Jack Shainman, où sont présentées de récentes sculptures et peintures aux larges formats héroïques. A mi chemin entre natures mortes et paysages, ces toiles élèvent le statut des ustensiles de cuisine traditionnels Indiens à celui d’oeuvres d’art. Les prix sont à la hauteur de la réputation de l’artiste, avec des peintures présentées autour du demi million d’euros et non pas de dollars, chose plutôt incroyable à Chelsea… le lieu du triomphe du marché de l’art contemporain américain n’est pas sans refléter les évolutions de l’économie mondiale !
Autre exposition notable : celle de l’artiste Japonaise Tabaimo chez James Cohan, avec de nouvelles vidéos qui nous plongent dans son univers imaginaire, étrange et angoissant. Des dessins à la ligne simple et très expressive sont également exposés, représentant des mains “en mutation” qui se transforment en insectes.
A voir également, les nouvelles toiles de TianBing Li, actuellement présentées dans la très exclusive galerie L&M de l’Upper East Side, pour une exposition intitulée “Me and My Brother”. Nouveau recru parmi une écurie d’artistes des plus reconnus dans le monde, ce jeune Chinois né en 1974 a fait les Beaux Arts à Paris, où il travaille et vit encore pour l’instant, tout en partageant son temps avec Pékin.
S’inspirant de photographies en noir et blanc prises par ses parents, sa nouvelle série de peintures traite de son enfance. Le plus jeune enfant représente l’artiste, avec un frère, imaginaire, qui prend de l’âge selon les toiles. Réflexions sur la mémoire et l’enfance, les traumatismes et les regrets, ce travail peut être également vu comme une référence à l’histoire de la Chine, dont les progrès rendent le passé incroyablement distant et irréel au point d’en faire une source de nostalgie et de malaise. Avec beaucoup plus de maîtrise et de maturité dans l’exécution de ses toiles, TianBing Li propose des œuvres aux formats impressionnants, ce qui les destine sans doute à de grands collectionneurs et à des musées. Il semble donc que TianBing Li soit définitivement rentré dans le cercle des artistes chinois de référence, avec un bel avenir en perspective. A noter... Subodh Gupta "Still steal steel" March 13 - April 12, 2008 Jack Shainman Gallery 513 West 20th Street New York, NY 100011 Telephone : 212 645 8316 www.jackshainman.com Tabaimo March 14 - April 12, 2008 James Cohan Gallery 533 West 26th Street New York NY, 10001 Telephone : 212 714 9500 FAX 212 714 9510 www.jamescohan.com
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Peinture - dessin - sculpture
1 avril 2008
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Ohipa est une galerie pas comme les autres: visant à rapprocher les artisans et créateurs de leurs acheteurs, Ohipa se pose en précurseur de ces nouvelles relations individuelles et personnalisées au sein d’une grande communauté accessible à tous... une galerie virtuelle ! Accompagné de ses jeunes créateurs de mode, Ohipa lance ses expos-ventes "Ohipa’Shop" du 4 au 6 avril prochain, rue Montorgueil, dans le 2ème arrondissement
Près de vingt créateurs exposent leurs créations insolites: pièces uniques et séries limitées, à la fois chics et éthiques, feront sans doute les tendances de demain. Parmi tous ses nouveaux talents, Ohipa vous invite à découvrir la nouvelle collection de la jeune styliste Caty Amon, créatrice de Unityk, marque urbaine aux inspirations multiculturelles.
A noter...
Expos-ventes "Ohipa’Shop"
4, 5 et 6 avril 2008 de 9h30 à 19h
Nocturne le 4 avril jusqu’à 23h
48 rue Montorgueil 75002 Paris
ww.ohipashop.com
Les expos sur CultureCie...
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Architecture et design
1 avril 2008
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For his return to Galerie Daniel Templon since 2003, engages both spaces of the gallery with a spectacular exhibition around the figure of Pinocchio. The main gallery will be devoted to a series of large scale painted wood sculptures while our new space Impasse Beaubourg will serve as a showcase for new colorful etchings, inspired by the different episodes of Pinocchio’s adventures.
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Jim Dine
Pinocchio
April 12- May 28, 2008
Opening reception Saturday, April 12, noon - 8pm Galerie Daniel Templon Impasse Beaubourg, 75003 Paris
Tuesday - Saturday, 10 AM - 7 PM
www.danieltemplon.com Also on CultureCie...
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