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CULTURE & CIE

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CULTURE CIE & VOUS

PARTENAIRES

9 décembre 2007 7 09 /12 /décembre /2007 16:27
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Première exposition personnelle à Paris du jeune peintre français Jérôme François, "Maximalisme" rassemble des oeuvres apparemment très différentes, entre abstraction et figuration, inspirées pour la plupart par le cinéma, auquel l’artiste aime à rendre hommage même s’ il n’est en fait pour lui question que de peinture.

Conçu par Jérôme François en reférence à la technique du collage ou, mieux encore, du “sampling”, l’accrochage mélange les genres et joue avec les références pour nous donner finalement à voir des oeuvres hybrides, protéiformes et polymorphes, particulièrement caractéristiques de cette nouvelle génération d’artistes si bien décrite par Alain Rosenbach dans son introduction au livre "Hibrid : regards croisés sur la peinture contemporaine en France" publié au printemps dernier aux Edition des Riaux : “Loin de l’utopie d’une peinture pure, les artistes d’“Hibrid” ont en commun de pratiquer la fusion, la confusion voir la perversion des genres. Ils s’approprient sans idéalisme, sans dogme et sans interdit les acquis et les désillusions de notre temps. (...) Ils font leur cinéma, jouent dans le hors champ. Ils poussent la peinture au delà de ses frontières. Ils appartiennent à cette génération qui, au delà de la faillite des grandes utopies modernes, au delà des illusions et des citations post-modernes, s’attache à exprimer un monde désormais hybride, dont ils tentent d’assumer la multiplicité.”
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A noter...

Exposition du 23 novembre 2007 au 26 janvier 2008
Ouvert du jeudi au samedi de 14h à 19h
Vernissage le jeudi 22 novembre 2007 à partir de 18h

Galerie Paule Friedland & Alexandre Rivault
64 rue des Tournelles 75003 Paris


www.myfavoriteartgalleryinparis.com

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8 décembre 2007 6 08 /12 /décembre /2007 01:15
GEORGES-CHEVALIER.jpg
L’entrée du passage du Caire au No.33 de la rue d’Alexandrie, Paris 2ème, 18 juillet 1914.
Crédits photo : © Collection du musée Albert-Kahn-Département des Hauts-de-Seine


Louis (1864-1948) et Auguste (1862-1956) Lumière, connus pour être les inventeurs du cinématographe (Louis Lumière tourne son premier film en 1895, à la sortie de son usine de Lyon-Monplaisir) doivent à leur père, photographe lyonnais, leur attachement à l’image sous toutes ses formes. Diplômés en chimie et physique, les deux frères sont aussi connus pour avoir développé et commercialisé l’autochrome, premier procédé couleur monoplaque utilisable par tous.

Le 10 juin 1907, les frères Lumière, fabricants de produits et de matériels photographiques et inventeurs déjà célèbres du cinématographe, présentent dans les locaux du journal L’Illustration et devant un parterre de 600 invités, un procédé de photographie des couleurs mis au point par leurs soins. «Toute la nature vivante, sous ses aspects les plus variés, reproduite et fixée avec la magie et l’harmonie de ses couleurs sur une petite plaque de verre» relate le journal quelque temps plus tard. Ce document original est présenté dans l’exposition "Paris en couleurs", présentée à l'Hôtel de Ville de décembre 2007 à mars 2008..

La plaque autochrome Lumière est une plaque de verre recouverte de huit à neuf mille grains de fécule de pomme de terre par millimètre carré. Ces grains colorés en violet, vert et orangé sont fixés sur la plaque à l’aide d’un enduit, une application de carbone permettant de combler les interstices entre les grains. Lors de la prise de vue, les rayons lumineux traversent les grains de fécule faisant office de filtre, avant d’atteindre la couche sensible. Deux développements successifs transforment la plaque en positif restituant les couleurs réelles de la nature. On applique alors un vernis destiné à augmenter l’éclat et la transparence des couleurs et à protéger la surface de la couche contre les détériorations. Le résultat obtenu se présente comme une plaque positive, visionnable par transparence, à l’instar de ce que sera plus tard la diapositive.


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8 décembre 2007 6 08 /12 /décembre /2007 00:42
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On connait déjà ses chansons. On les connait depuis belle lurette avec toutes sortes de tic tic, de pitich pitich, de wiiiuu wiiiuu, de tirlititi. Les voici tout entièrement en pling pling. Pling pling ici et pling pling là : Thomas Fersen visite son répertoire avec deux ukulélés, le sien et celui de son fidèle guitariste Pierre Sangra.

Le duo d’ukulélés, cela avait d’abord été une « petite » tournée de quelques dates. Puis un petit arrêt au Bataclan. Puis encore des dates, et encore quelques-unes, et cela va reprendre dans quelques semaines. Et cela durera peut-être toujours, entre d’autres tournées tant les sortilèges et les conforts du jeu à deux ukulélés ont fini par séduire Thomas. Une collaboration avec Red Cardell lui permet de découvrir un studio à deux kilomètres de son village, dans le Finistère.  « Sur un coup de tête, en septembre », Thomas attaque le best of attendu depuis des années, mais au ukulélé.

Ce n’est pas seulement un instrument de coquines Polynésiennes mollement alanguies : « Il y a quatre tailles d’ukulélés, comme les Dalton. J’ai pris le plus petit, le plus teigneux: le soprano. Pierre a pris le baryton. » Voilà tout ce qu’il faut pour attaquer dix-huit titres piochés sur tous les albums de Thomas. S’ajoute une chanson neuve, "Georges", échappée du chantier d’un prochain disque, et sa bonne vieille reprise de "Bella ciao" (« Ma façon de remercier Joseph Racaille, qui a écrit l’arrangement et m’a initié à l’ukulélé »). Comme dans les concerts en duo avec Pierre Sangra, les chansons apparaissent dans une sorte de vérité sobre et légère. Une prime aux chansons simples ? Pas forcément : « Les chansons les plus arrangées sont les plus adaptables, Pierre jouant une réduction de l’arrangement. » Ainsi, "Louise", "Monsieur" ou Pièce montée des grands jours conservent ferveur et sourire dans leur version ukuléliste.

Ça nous rappelle surtout qu’on peut chanter ces chansons, nous aussi. Jadis, les auteurs-compositeurs étaient très heureux de voir partir dans le peuple leurs partitions imprimées sous une couverture illustrée… Aujourd’hui, on pourrait proposer les chansons à chanter ainsi, sans les virtuosités du studio et les parades du concert. Sur cet album, elles sont nues !

Mais on vous a un peu menti. Il y a quand même des arrangements sur ce disque. Dans "Bijou", quand Thomas chante « Elle vient frapper toc toc toc/Dans ma vie de cloporte », on entend le toc toc toc sur la caisse du ukulélé. Et puis il y a une flûte à bec sur "Saint-Jean-du-Doigt". Un peu fausse. Pour le reste, pling pling.

thomaspierre.jpgA noter...

Sortie le 26 novembre 07

Sur le web...

Gratte moi la puce Part 1 est sur youtube

Gratte moi la puce Part 2 est aussi sur youtube

www.totoutard.com

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Pochette-cd-4-titres.jpgThomas-Dutronc.jpgDGIPACK-PERSPECTIVE-copie-1.jpgVISUEL-BANCO.jpgRose.jpg
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7 décembre 2007 5 07 /12 /décembre /2007 05:35
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Vous étiez plus de 1600 attendus à la fameuse soirée PIPER pour le lancement de la bouteille VIKTOR & ROLF qui s'est déroulé le 9 novembre 2007. C'est la soirée MOET & CHANDON qui s'invite chez Regine's en décembre : dans un décor spécialement conçu pour l’occasion, en passant par des chandeliers de glace de plus de deux mètres de haut aux lustres de diamants, Regine's ne ressemblera a rien de déjà vu... Attention chaud devant !

De nombreuses surprises, des cadeaux et surtout le meilleur du champagne... eau ou champagne à la bouche ? Parce ue le club de la rue de Ponthieu aime Noël, et parce que Regine's a envie de se démarquer, quand la soirée battra son plein, les serveurs déguisés en père noël et lutins viendront... offrir... vous avez bien lu... offrir une bouteille de champagne sur chaque table...

Somnambules...

Samedi 15 décembre
Chez Regine's
49, rue de Ponthieu
75008 Paris


Ouverture à 23h30

Tenue de soirée plus que conseillée
Music by DJ JULIA & DJ URBANO

Réservations : Maxime BARBIER
Tel: +33 (6) 5061.6726
event@maximebarbier.com
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7 décembre 2007 5 07 /12 /décembre /2007 01:26
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Sophie Loizeau vit à Versailles. Elle est titulaire d’un DEA de Lettres Modernes et, après avoir été enseignante, exerce actuellement la profession de psychologue à l’Education nationale.

Publications...

- Albine, (livre collectif, Trois lettres faisant suite au roman inachevé de George Sand), éd. L’Act Mem (fonds Comp’Act), 2005
- Environs du bouc, L’Act Mem (fonds Comp’Act), 2005 (prix Yvan Goll)
- La Nue-bête, éd. L’Act Mem (fonds Comp’Act),  2004 (bourse Poncetton de la Société des Gens de Lettres et prix Georges Perros 2006)
- Le Corps saisonnier, éd. Le Dé bleu, 2001

A paraître en 2009 : La Femme lit, Flammarion

Elle a également de nombreuses parutions dans des revues de littérature et de poésie (La Polygraphe, Europe, Le Nouveau Recueil, Po&sie, Le Mâche-Laurier, Rehauts, Passage d’Encres, Petite, Grèges, Gare maritime, L’Etrangère, Vatra – revue roumaine, textes traduits par Dinu Flamand, etc.), ainsi que dans des anthologies, notamment :
- Etats provisoires du poème VI, Théâtre National Populaire, « Les langagières », Cheyne Editeur, décembre 2005
- Collaboration à l’Anthologie « Passeurs de mémoire », collection Poésie/Gallimard, mars 2005
- Collaboration aux Anthologies, Autres territoires et Potlatch (es), éd. Farrago, Biennale des Poètes en Val-de-Marne, 2003/2004

Elle a écrit des livres en partenariat avec des artistes peintres et compositeurs :
- Anima mundi, avec Claude Panier, Les Cahiers de la Seine, 2005
- Qu’il en soit ainsi, avec Céline Froidevaux, 2004
- Livres peints, avec Anna Slacik, 2004
- Impromptus pour Erato, pièces vocales, avec Alain Bioteau, Festival de musique contemporaine Ebruitez-vous, Rennes, 2004

Sophie Loizeau participe à des lectures publiques en France et à l’étranger, des consultations poétiques, des ateliers d’écriture, des spectacles poétiques.

 

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7 décembre 2007 5 07 /12 /décembre /2007 00:51
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De son enfance à la gloire, de ses victoires à ses blessures, de Belleville à New York, Olivier Dahan nous propulse dans les succès et les drames de Piaf. Surmonter les abandons et les balottages de l'enfance, survivre en chantant dans la rue, oublier dans l'alcool et les piqûres... et aimer, toujours aimer. Le public, la chanson, les hommes, un homme surtout. Se débattre dans la misère et surmonter la célébrité. Et chanter jusqu'à mourir.

C'est vrai, on en a trop entendu parler, mais pourtant le film est à voir. Un Depardieu fidèle à lui-même, une Marion Cotillard qui se révèle, aux côtés d'une Sylvie Testud toujours juste. Le montage anachronique pourrait perdre les distraits, mais il dynamise le tout et peut parfois faire monter le suspense, même si l'on est nombreux à connaître la fin.

Bouleversant, et incontournable.

51uFpqn0YRL--AA240-.jpgA noter...

La Môme

Coffret "super collector"
Iinclus l'édition 2 DVD + 1 CD +1 livre + 1 calendrier
50 euros
Parution: 22 novembre 2007
Lien Amazon
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Edition 2 DVD HD
30 euros
Parution: 22 novembre 2007

Lien Amazon

Edition 2 DVD
18 euros
Parution: août 2007
Lien Amazon

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6 décembre 2007 4 06 /12 /décembre /2007 19:14

Après des études de flûte, de piano et d’alto au CNR de Paris, Siegfried Canto se dirige vers la composition. Il suit des formations au GRM et à l’IRCAM où il confronte son travail aux nouvelles technologies audionumériques.

Il compose régulièrement pour le spectacle vivant (danse, théâtre), et l’audiovisuel (courts-métrages, documentaires d’art, télévision & multimédia…) Parallèlement à son travail de composition, il a une démarche de plasticien sonore et réalise des installations d'art numérique qu'il présente dans des musées.

Il signe des collaborations avec des artistes vidéastes, plasticiens et photographes - A. Fleischer, M. Desbazeille, A. Dementieva, D. Foresta, H. Benohoud…- pour lesquels il réalise la conception sonore et le développement des interactivités. Spécialisé dans les dispositifs interactifs et les traitements temps-réel du son et l’image, il intervient en école d’art et au Fresnoy.

Le théâtre sur CultureCie...

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6 décembre 2007 4 06 /12 /décembre /2007 04:34
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Du 3 décembre au 7 janvier, le dernier film de  Wong Kar Wai est à l'honneur chez Colette, pour une exposition plutôt exceptionnelle. C'est un ensemble de photographies de très haute qualité et au format panoramique des repérages faits par le chef lumière Darius Khondji pour le film "My Blueberry Nights" que Colette nous propose de découvrir. Un livre collector, édité par Xavier Barral, est disponible en avant première chez Colette à partir du 3 décembre 2007.

A noter...

Du 3 décembre 2007 au 7 janvier 2008
Chez Colette
213 rue du faubourg Saint-Honoré
75001 Paris

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6 décembre 2007 4 06 /12 /décembre /2007 00:00
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Elle a des névroses, elle a des envies, elle a de l'humour, elle a des regrets et des rêves, et elle a surtout du talent. Du talent pour écrire, par dessus tout. Ecrire ses revers, ses travers, ses envers. Son amour, sa désillusion, sa naïveté. Bourré d'autodérision, son album est un cadeau : "Rose" est authentique.

On a découvert Rose il y a un peu plus d'un an, grâce aux miracles de la toile: myspace est une mine de trésors ! On a immédiatement aimé sa simplicité, ses thèmes contemporains, son autodérision. Mais en première partie d'un concert de Martin Rappeneau, on avait été un peu déçu... Rose est loin d'être aussi généreuse sur scène qu'en studio, c'est vrai, mais son album n'en reste pas moins l'un de nos coups de coeurs musicaux 2007.

Il parlera sans mal à toute une génération, celle des filles qui se promettent de moins faire la fête et qui ne résistent pas à se mettre à l'envers, celle des filles qui se masquent sous des aventures en rêvant au prince charmant, celle des femmes libres qui restent des enfants. Rose est vraie, intelligente, lucide, rêveuse... Oui, elle est tout et son contraire, et alors ? Loin de la variété niaise, Rose fait remonter le niveau de la chanson française, grâce à une sincérité déroutante et des vers aussi évidents qu'ennivrants.

Ah... elle se trouve naïve Rose ! Oui, si on veut, mais ce joli coeur est aussi lucide que séduisant. Naïve, peut-être, mais loin d'être niaise ! Un peu comme Pauline, un peu comme Elodie Frégé, elle a été naïve et ses chansons exorcisent les pots cassés. Alors elle se livre, avec pudeur, et non sans sourire... et si l'intelligence, c'était sa vérité ? La sienne est romantique, profonde, fragile. Et elle a décidé de nous la chanter.

On aurait pu aimer un titre, ou deux, ou trois. Comme c'est rare, les albums si constants, ces droites lignes qui rayonnent de talent ! Chaque chanson a sa place dans notre coeur, "La liste", évidemment, celle que dresse une fille qui n'a que ça à faire, la liste des choses qu'elle a envie de faire, avec celui qu'elle aime. Rien d'extraordinaire cette liste, non: "aller à un concert, repeindre ma chambre en vert, boire de la vodka, aller chez Ikéa, mettre un décolleté... pleurer pour un rien, acheter un chien, faire semblant d'avoir mal et mettre les voiles, fumer beaucoup trop, prendre le métro et te prendre en photo..." Oui, c'est vrai, "ça peut paraître bien ordinaire", mais c'est la liste des choses qu'on a tous envie de faire quand on aime non ?

Nos coups de coeur vont aussi à ses "saisons", qui passent dans l'attente de celui qui ne revient pas. A "Ciao bella", parce que "les autres on s'en fout", parce que "les autres c'est pas nous", parce que le ryrhme, parce que la simplicité, encore. On adore "sombre con", bel hommage à tous ces hommes avortés par des mères idôlatrées. "D'autres ailes", joli refrain de la fille plaquée, et puis évidemment "A l'envers", et "Je m'ennuie", sans doute parce qu'on comprend si bien qu'elle s'ennuie, Rose, quand elle décide de ranger ses talons aiguilles et de garder ses sous ! On aime "L'Acide" aussi, ravissant hymne à l'amour qui "signe de [ses] larmes [un] coeur indigne", et puis "Julien"... pour la conscience et la peur des lendemains.

Mettez cet univers intelligent et romantique sur de jolis accords de guitare, le tout emporté par une voix fort agréable et sans prétention, et vous aussi, sans doute, verrez-vous "la vie en Rose". Pour nous, "les jeux sont faits": Rose a sa place parmi les plus grands de la scène musicale française.

Aperçu...

A noter...

Rose
Dans les bacs depuis le 25 septembre 2007
Chez Source - etc / EMI
10 euros
Lien Amazon

Sur le web...

Rose a un site oficiel ui lui ressemble : www.rose-lesite.fr
Rose a un site non officiel aux allures très officielles (adorable) :
www.ciaobella.fr
Rose est sur myspace

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Pochette-cd-4-titres.jpgPAULINE.jpgROXANE-K-5.jpgage-or.jpgThomas-Dutronc.jpg
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5 décembre 2007 3 05 /12 /décembre /2007 15:56
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Célébré comme un pionnier de l’une des tendances majeures de l’industrie musicale aujourd’hui, la musique électronique, le compositeur Jean-Michel Jarre a élevé le style à des sommets de popularité jamais atteints dès les années 1970 et 1980 avec soixante millions d’albums vendus dans le monde à ce jour. Zoom sur une carrière hors du commun.


De l'hexagone à l'Asie...

En 1976, Jean Michel Jarre fait une percée spectaculaire dans le milieu musical avec son album "Oxygène", qui obtient le Prix de l’Académie Charles Cros en France et grimpe au sommet des hit-parades dans le monde entier. Ce succès international reste aujourd’hui inégalé dans l’histoire du disque français, avec près de douze millions d’albums vendus.

En 1978, "Equinoxe" confirme la crédibilité de Jarre dans l’industrie et un an plus tard, il révolutionne le spectacle musical avec son concert sur la Place de la Concorde à Paris. Un million de personnes sont présentes, ce qui vaut à l’artiste sa première entrée dans le livre du Guinness des Records.

Le troisième album de Jean-Michel Jarre, "Chants magnétiques", sort en 1981. Cette même année, il est invité en Chine, où il donnera plusieurs concerts. Premier musicien occidental à se produire dans la Chine post-maoïste, les concerts de Pékin et de Shanghai sont des événements culturels historiques, suivis par 500 millions de téléspectateurs et d’auditeurs sur la Radio du Peuple. L’album "Les Concerts en Chine", chronique sonore de cette aventure asiatique, paraît l’année suivante. Sa musique et ses concerts continuent depuis lors d’être diffusés en Chine : un Chinois sur deux connaît le nom de Jean-Michel Jarre.

En 1983, Jarre vend aux enchères une copie unique de son nouvel album "Musique pour supermarchés" à l’Hôtel Drouot à Paris, alors que le master est détruit en présence d’un huissier. Le disque devient l’un des albums « collectors » les plus recherchés de l’histoire.

En 1984 sort "Zoolook" : l’album est salué pour son originalité. Il obtient le Prix de l’Académie Charles Cros, une Victoire de la Musique en France et est consacré album instrumental de l’année aux Etats-Unis.

De l'Amérique au monde arabe...

 Jarre explore alors une nouvelle direction artistique. Il travaille à New-York, rencontre Andy Warhol, Laurie Anderson et enregistre avec celle-ci, Adrian Belew et Marcus Miller. Utilisant une multitude de syllabes et de phonèmes puisés dans des langues différentes, il crée un son nouveau qui fera de "Zoolook" un des albums les plus « samplés » de l’époque.

En 1986, dans un concert mémorable, Jean-Michel Jarre se produit à Houston : 1,3 million d’Américains campent pendant des heures pour partager l’expérience et écouter son nouvel album, "Rendez-Vous". L’audience record du concert de Houston fait entrer Jean-Michel Jarre pour la seconde fois dans le Guinness des Records ! Il est également élu Personnalité de l’année par le magazine “People” aux Etats-Unis.

Il donne un nouveau concert dans sa ville natale de Lyon, à l’occasion de la visite du pape Jean Paul II. Un million de personnes répondent à nouveau présents. Le concert est salué pour ses effets visuels, avant la sortie de l’album "Houston-Lyon, Cities in Concert", qui retrace les grands moments musicaux de ces deux live.

Jarre reçoit deux Victoires de la Musique "album instrumental de l’année" pour "Rendez-Vous" et "concert de l’année" pour "Houston".

Avec son nouvel album "Révolutions", en 1988, Jarre opère l'une des premières rencontres de la musique électronique avec le monde arabe. Il travaille à cette époque avec de nombreux musiciens et chanteurs du Maghreb et d’Egypte.

Cette même année Jean Michel Jarre se produit aux Docklands de Londres où il donne deux concerts. 250 000 billets sont vendus et malgré de terribles conditions météo, le concert est un succès : les Anglais, fervents admirateurs depuis le premier jour, assistent à l’intégralité du concert sous une pluie battante. Parmi eux se trouve la Princesse Diana !

L'Europe encore...

Le dixième album de l’artiste, "En attendant Cousteau", paraît en 1990. Le monde sous-marin du célèbre océanographe, Jacques-Yves Cousteau, en est l’inspiration. Le 14 juillet, Jean Michel Jarre donne l’un des concerts les plus spectaculaires de l’histoire de la musique à La Défense, à Paris, battant son propre record d’audience en jouant devant 2,5 millions de personnes...

"Images", une compilation de ses thèmes les plus populaires, paraît en 1991 et en 1992, Jean- Michel Jarre donne trois concerts en Afrique du Sud.

C’est en 1993 que paraît "Chronologie", album élu Victoire de la Musique 1994, un voyage à travers les mécanismes et l’évolution du temps.

Jean-Michel Jarre se lie cette année-là avec la marque Swatch pour la première tournée de sa carrière: "Europe en Concert". Cette tournée, dont toutes les dates affichent complet, l’amènera sur les sites du Mont-Saint-Michel ou du Château de Versailles en passant par tous les grands stades du continent, du stade de Wembley et de Manchester en Grande-Bretagne au Stade Olympique de Barcelone ou du Nep Stadium de Budapest… Jarre est l’unique artiste français et l’un des rares musiciens internationaux à jouer à guichet fermé dans ces stades.

Puis l'Europe le mène à nouveau en Asie où, en 1994, il célèbre l’ouverture du nouveau stade de Hong Kong: l’occasion pour lui d’interpréter quelques-uns de ses souvenirs de Chine.

En 1995, Jean Michel Jarre est de retour à Paris. Il donne au pied de la Tour Eiffel le « Concert pour la Tolérance » sous le haut patronage de l’UNESCO, pour lequel il est Ambassadeur depuis deux ans. Toujours fidèle, son public compte plus d’un million de spectateurs.
Il est décoré la même année Chevalier de la Légion d’Honneur par le gouvernement français.

En 1997, Jean Michel Jarre sort "Oxygene 7-13", la suite d’"Oxygène". "Oxygene Tour", cette même année, affiche complet sur 25 dates à travers l’Europe.

De Moscou au nouveau millénaire...

Le 6 septembre 1997, Jarre donne le plus grand concert de sa carrière à Moscou, sur l’invitation de la métropole. Personne n’avait prévu l’impact de l’événement: 3,5 millions de personnes se déplacent pour le voir. C’est la troisième entrée du musicien dans le Guinness des Records !
L’artiste a réservé une surprise de taille à son public russe, fidèle à sa musique depuis le début de sa carrière, en présentant pendant le concert les astronautes de la station MIR en direct de l’espace.

En 1998, Jarre collabore avec le groupe Britannique Apollo 440 pour la création du single "Rendez-vous 98", qui figurera dans l’album officiel de la Coupe du Monde. La chaîne britannique ITV adopte pour sa part le single pour la retransmission télévisée de l’événement. Le 14 juillet, 48 heures après la victoire de la France, Jean-Michel Jarre donne un concert au pied de la Tour Eiffel à Paris pour célébrer la victoire et est rejoint par de multiples artistes sur scène, dont Apollo 440 et la superstar japonaise Tetsuya Komuro.

Le 31 décembre 1999, Jean Michel Jarre est chargé par le gouvernement égyptien de concevoir et de mettre en scène un concert pour célébrer l’entrée dans le nouveau millénaire. Celui-ci se déroule du coucher au lever du soleil, au pied des Grandes Pyramides de Gizeh, près du Caire. Au programme: musiques traditionnelles de l’Egypte ancienne et du monde arabe avec orchestre symphonique et musiques électroniques. 120 000 personnes se déplacent pour assister à l'événement tandis que plus de deux milliards de téléspectateurs et environ deux millions d’internautes le suivent dans le monde entier.

En 2000 paraît l’album "Métamorphoses". Premier album "vocal" de Jean-Michel Jarre, il inclut des collaborations avec Laurie Anderson, Natacha Atlas, Deirdre Dubois (Ekova) et Sharon Corr (The Corrs). Fidèle au titre de l’album, Jarre explore ici une nouvelle forme d’expression.

Pas vraiment "has been"...

Début 2001, Jean-Michel Jarre fait équipe avec l’écrivain de science-fiction Arthur C. Clarke, l'auteur de "2001, Odyssée de l’Espace", pour créer "2001 – Rendez-vous in space". Le concert est une odyssée musicale et visuelle. Il se déroule sur une plage de l’île d’Okinawa, au Japon, le 1er janvier 2001. Aux côtés de l’artiste français se trouve la star asiatique Tetsuya Komuro.

Au mois de juin 2001, Jarre donne deux concerts exclusifs dans le théâtre antique Herode Atticus sur le site historique de l’Acropole d’Athènes. Commandité par le Ministère de la Culture grec, il compose "Akropolis", un thème pour orchestre symphonique dédié au site pour le futur.

Le 7 septembre 2002, Jean-Michel Jarre choisit le nord du Danemark pour célébrer le vent et les énergies renouvelables dans un site une fois encore totalement singulier: un parc d’éoliennes près de la ville d’Aalborg, où 50 000 spectateurs privilégiés, provenant de plus de 25 pays différents, assistent à sa dernière création.

 En septembre 2004 il sort "AERO", le premier album au monde entièrement conçu en qualité sonore surround, dolby digital 5.1. En se balançant de deux pistes (stéréo) à cinq pistes (AERO), la musique vous transporte dans une nouvelle dimension. Après la « Mono » en 1877, la « Stéréo » en 1958, Bienvenue « AERO » - la révolution sonore continue…

DSC-5578.JPG Pour l’ouverture de l’année de la France en Chine, Jean-Michel Jarre donne un concert historique en octobre 2004 à la Cité Interdite et sur la place Tian’Anmen à Pékin. Le concert est retransmis à la télévision en Haute définition pour des millions de téléspectateurs.

Fin 2007, il réédite "Oxygène" en CD et DVD, qu'il réenregistre en haute déinition. L'album, déjà vendu à douze millions d'exemplaires, promet d'être un nouveau succès.

Une carrière solo aux multiples facettes...

Auteur-compositeur, créateur de concerts d’un genre nouveau, Jarre est aussi l’auteur de chansons à succès et de bandes originales de films. Il est le premier compositeur à faire entrer la musique électronique à l’Opéra de Paris, avec le ballet AOR en 1971. Entre 1968 et 1972, après avoir travaillé avec Pierre Schaeffer au GRM (Groupe de Recherches Musicales), il compose et produit une série de morceaux électroniques comme  "La Cage", "Deserted Palace"…

En 1972, il compose la musique du Festival International de la Magie. En 1973 et 1974, il compose et écrit des paroles pour Françoise Hardy, Gérard Lenorman et pour les deux albums phares de Christophe, "Les Paradis Perdus" et "Les Mots Bleus". Il signe aussi la mise en scène et la direction artistique des deux concerts de Christophe à l’Olympia à Paris.

En 1974 et 1975, il part pour Los Angeles où il écrit et produit deux albums pour Patrick Juvet, "Mort ou Vif" ("L’Enfant aux Cheveux Blancs", "Faut pas rêver") et "Paris by night" ("Où sont les femmes ?"). Il travaille sur place avec les musiciens de Herbie Hanckock et Ray Parker Junior.

Dans le domaine de la musique de films, Jarre compose en 1972 la bande originale du film "Les Granges brûlées" de Jean Chapot, avec Alain Delon et Simone Signoret. En 1978 il compose celle du film de Peter Fleischmann, "La maladie d’Hambourg". Peter Weir lui demande en 1979 de travailler sur "Gallipoli", avec Mel Gibson. En 1986 il contribue à "Neuf semaines et demie" d’Adrian Lyne avec Kim Basinger et Mickey Rourke.

Jean-Michel Jarre signe en 1992 la musique du film documentaire "Palawan", réalisé par Jacques-Yves Cousteau. En 2001, il compose la bande originale de "Qui veut devenir une star", le premier long métrage du jeune réalisateur français Patrice Pooyard, ainsi que l’habillage musical de la chaîne Match Télévision. Il conçoit également le design visuel et sonore du Concept Store Bang & Olufsen sur les Champs-Elysées à Paris.

Jean-Michel Jarre est aussi l’auteur de plusieurs installations vidéo, la dernière d’entre elles ayant été présentée en l’an 2000 lors de l’exposition sur la Beauté en Avignon.

Nommé "Apple Master" en 1998, Jean Michel Jarre a également été le porte-parole de l’IFPI de 1998 à 2000, où il a mené avec succès le débat sur les droits d’auteur en rapport avec Internet et les nouveaux médias devant le Parlement Européen.

Jean Michel Jarre est enfin porte-parole des Nations-Unies dans le cadre de l’UNESCO et Ambassadeur pour la Tolérance et la Jeunesse, un rôle actif qu’il honore depuis 1993.


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