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CULTURE & CIE

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CULTURE CIE & VOUS

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31 mars 2007 6 31 /03 /mars /2007 00:20


Bientôt les fumeurs de l'hexagone mèneront la vie dure. Petit manuel à l'usage des curieux...

Allen Carr propose une méthode attendue de tous ceux qui veulent arrêter de fumer. Aussi efficace avec les gros fumeurs qu'avec les fumeurs occasionnels, elle ne provoque, selon l’éditeur, aucune angoisse, et n'a rien d'un traitement de choc. C’est de psychologie dont il s’agit d’abord, bien que l’auteur ne soit ni médecin ni psy - mais tout simplement un ex-fumeur avec, à son actif, 33 ans de métier et cent cigarettes par jour.

Il faut bien avouer que ce genre de livre provoque, chez les consommateurs avertis, une certaine réticence. Mais, après une dizaine de recommandations de la part de fumeurs invétérés ou occasionnels, tout gros fumeur finit par se dire qu'il n'a rien à perdre. Et en effet, celle qui écrit ces lignes avait tout à gagner : c'est une méthode finalement presque inexistante que nous propose Allen Carr, mais c'est une méthode qui marche ! Et c'est bien l'essentiel. Ce livre nous aide d'abord à désacraliser notre rapport particulier à la cigarette mais son véritable atout réside en ceci qu'il nous délivre des chaînes de l'esclavage psychologique. Allen Carr pointe un certain nombre de faits, dont les éternels chiffres du cancer ou autres données insupportables aux oreilles des fumeurs. Mais c'est justement parce qu'Allen Carr a été le plus gros fumeur que vous n'ayez jamais rencontré qu'il est crédible. Ici, pas de morale de médecin à la vie bien réglée, pas de mauvaise conscience ou de culpabilité. Aucun fumeur ne peut écouter les interminables discours tournant autour de la vie saine, des légumes, du sport et du bien-être. Et c'est justement parce que "La méthode simple" ne nous culpabilise pas qu'elle est efficace. Rien de transcendant dans les lignes de cet ouvrage ennuyeux dont le succès s'explique exclusivement par ses résultats. Il faut être prêt à s'ennuyer un peu pour ne plus être dépendant. Bref, ce n'est pas le livre qui est un régal, mais la vie sur laquelle il ouvre.

 

Allen Carr...

Allen Carr est devenu expert-comptable en 1958. S'il s'épanouissait dans sa vie professionnelle, la consommation d'une centaine de cigarettes le déprimait. En 1983, après l'échec d'innombrables tentatives pour arrêter de fumer par le seul pouvoir de la volonté, il découvrit cette méthode. Depuis, il ne fume plus et se consacre aux autres fumeurs. Sa solide notoriété repose sur ses résultats spectaculaires. Il est désormais considéré comme l'expert numéro un des fumeurs qui souhaitent arrêter comme des médecins du monde entier, qui s'inclinent devant une méthode que leur science n'a pas pu découvrir.

 

Extrait...

"La solution qu'attendent tous ceux qui veulent arrêter de fumer : Elle est instantanée, aussi efficace avec les "grands" fumeurs qu'avec les "petits". Elle ne provoque aucune angoisse par manque de cigarettes. Elle ne requiert aucune volonté particulière. Elle n'a rien d'un traitement de choc. Elle n'entraîne aucun gain de poids et elle est définitive."

 

A voir aussi sur CultureCie...

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29 mars 2007 4 29 /03 /mars /2007 17:00



 

Tout va bien pour Luis Costa, 43 ans, nez dans une grande entreprise de parfums, et issu d’une grande famille qui est exclusivement composée de femmes : comme sa mère, ses cinq sœurs le gâtent et le protègent à outrance. Tout va bien donc jusqu’au jour où un « G7 », soit une réunion familiale, est annoncé par sa très chère mère. Décision de l’année : le mariage de Luis. En effet, ces femmes n’en peuvent plus de s’occuper de cet homme trop gâté. C’est désormais à une autre de le faire : la sienne. Le problème, c’est que Luis n’a pas du tout envie de se marier ! Mais sa famille matriarcale fera tout pour arriver à ses fins. Luis ne voit alors qu’une seule possibilité : louer une femme ! La payer afin qu’elle joue le rôle de sa fiancée. Emma, qui est au chômage depuis trop longtemps, semble parfaite pour le rôle Aussitôt dit, aussitôt fait : elle est engagée. Oui mais voilà, s’il y a bien un contrat, les sentiments, eux, ne peuvent obéir à des clauses…


Un film drôle et léger, qui porte clairement l’empreinte d’Alain Chabat. « Prête moi ta main » est d’ailleurs truffé de ces répliques cultes qui continueront sans doute à nous faire rire pendant plusieurs années.

Depuis « La Bûche », on connaît une Charlotte Gainsbourg qui ne mâche pas ses mots. C’est vrai, elle a incarné ces personnages un peu fous, et troublants, aux côtés de Claude Rich, et plus tard sous la caméra de son mari Yvan Attal. Mais Alain Chabat donne à l’actrice ses accents délirants : alors, sous la direction d'Eric Lartigau, elle va plus loin que les batailles de bouteilles d’eau imaginées pour « Ma Femme est une actrice », et plus loin aussi que la franchise déroutante qu'elle incarnait dans « La Bûche ». Toujours spontanée et pétillante, mais un peu plus délurée, elle est époustouflante : Emma lui va comme un gant. A voir absolument.

A noter...

Sortie DVD: avril 2007
Lien Amazon


A voir sur CultureCie...

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29 mars 2007 4 29 /03 /mars /2007 13:33

Invité de "RTL Première", émission radio animée par Anthony Martin, Elie Semoun invitera Martin Rappeneau à venir partager l'antenne avec lui.

 

L'émission sera diffusée le samedi 31 mars sur RTL, de 18h30 à 19h45.

 

Plus d'infos sur www.rtl.fr

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28 mars 2007 3 28 /03 /mars /2007 18:24

Bernard Perrine, conseiller éditorial de la revue "Le Photographe", est ce samedi 31 mars à la galerie Chambre avec vues pour commenter l'oeuvre de Jean-Pierre Sudre, dont l'exposition est prolongée jusqu'au 28 avril. A voir et à entendre...

A noter...

Expo jusqu'au 28 avril 2007

Galerie Chambre avec vues
56 bis rue des Plantes 75014 Paris
Métro Alésia

Du mardi au samedi de 12h00 à 19h30
Entrée libre

www.chambre-avec-vues.com

Dans la même galerie...

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Vanessa Franklin, Patricia Canino & Yutaka Yamamoto


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27 mars 2007 2 27 /03 /mars /2007 19:41
Image hébérgée par hiboox.com

Exposition de Mika Ninagawa du 2 au 28 avril.

colette dance class le lundi 2 avril au Paris Paris.

Arkitip fait son numéro 39 avec colette et un CD Ed Banger.

Nous en parlerons en avril...
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26 mars 2007 1 26 /03 /mars /2007 00:09


Quand Arthur et George se rencontrent, nous connaissons tout ou presque des deux personnages. Nous les avons vu naître, grandir, s’instruire, penser, chacun dans son milieu. D’origines différentes et de caractères opposés, ils vivent tous deux dans l’Angleterre de la fin du XIXème siècle.
George est un fils d’immigrés. Timide, solitaire et maladroit, il devient la cible idéale de la police, chargée de trouver un coupable. L’histoire est véridique : George Edalji a été réellement victime d’une erreur judiciaire, accusé, emprisonné puis relâché au bout de trois ans.
Arthur n’est autre que le célèbre sir Arthur Connan Doyle, auteur du non moins célèbre Sherlock Holmes. Tout lui réussit : il est brillant, cultivé, célèbre, chevaleresque et passionné. Passionné, il le sera par la cause de George, qu’il cherchera à réhabiliter.

Julian Barnes a écrit deux biographies dans son roman, où le fait divers n’est qu’un prétexte pour nous faire connaître la société victorienne. Il raconte non seulement les us et coutumes de l’époque mais il dresse aussi de fins portraits psychologiques. En plus d’être intelligents, ses deux personnages ont des accents visionnaires : ils se posent de vraies questions, concernant l’immigration, la religion ou les femmes, autant d’enjeux sociaux qui seront les défis du XXème siècle.

La quatrième de couverture nous invite à découvrir un « thriller haletant ». Je tiens à souligner que le suspense n’a que très peu de parts dans la valeur du livre. Imprégné de son héros, Julian Barnes parlera souvent comme lui et les amateurs de Sherlock Holmes seront heureux de le retrouver. L’art et la manière ! Voilà ce que l’on peut en dire.

Extraits choisis…

« Arthur avait été éduqué, durant ces années de jeunesse où l’esprit est encore si malléable, à l’école du matérialisme médical. Tout résidu de religion établie avait été éliminé ; cependant, il restait métaphysiquement respectueux. Il admettait la possibilité d’une cause centrale intelligente, tout en étant incapable d’identifier cette cause, ou de comprendre pourquoi ses desseins devaient se réaliser d’une façon si contournée et souvent si terrible. Pour ce qui était de l’esprit et de l’âme, Arthur acceptait l’explication scientifique du moment : l’esprit était une émanation du cerveau, tout comme la bile était une sécrétion du foi – quelque chose de purement physique par nature ; tandis que l’âme, pour autant qu’une telle notion puisse être admise, était la résultante de tous les fonctionnements héréditaires et personnels de l’esprit. Mais il reconnaissait aussi que le savoir n’est jamais immobile, et que les certitudes d’aujourd’hui peuvent devenir les superstitions de demain. » (p.67)

« Vous voulez q’il soit complètement innocent, hein ? Pas juste innocent, mais complètement innocent ? D’après mon expérience, Doyle, personne n’est complètement innocent… Ils peuvent être jugés non coupables, mais ce n’est pas la même chose que d’être innocent. Presque personne n’est complètement innocent. » (p.421)

Infos...

Editions Mercure de France
24 euros 40
Sortie: Janvier 2007

552 pages
Lien Amazon

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25 mars 2007 7 25 /03 /mars /2007 09:05



Fondateur du Théâtre de la Reprise avec Robert Gironès, de l’Attroupement avec Denis Guénoun et Patrick Le Mauff, du Scarface Ensemble avec Elisabeth Marie, Bernard Bloch est metteur en scène depuis 1978 et directeur artistique du Réseau (théâtre), compagnie conventionnée par la Drac Ile-de-France installée à Montreuil depuis une dizaine d’années.
Ses choix de metteur en scène sont essentiellement orientés vers la découverte de textes contemporains: que l'écriture soit théâtrale ou non, il aime travailler sur des textes d’auteurs étrangers dont il réalise souvent la traduction, ainsi qu'à partir des écrits de jeunes auteurs inédits.

Parmi les mises en scène les plus récentes de Bernard Bloch, on peut citer Tue la mort de Tom Murphy (1994-1996) ; Gouttes d’eau sur pierres brûlantes de Fassbinder (1996) ; Moi, quelqu'unDehors/Dedans de Tom Murphy (1997) ; Les Paravents de Jean Genet (2000-2001) ; Départ(s) de Gilles Laubert (2002) ; L’Ouest Solitaire de Martin McDonagh (2002) ; Lehaïm-à la vie ! d’après Portraits juifs de Herlinde Koelbl (2004-2005) ; L'Hypothèse Mozart de Frédéric Sounac (2006-2007).

Bernard Bloch mène aussi depuis 1971 une carrière de comédien de théâtre et de cinéma. Au théâtre, il a travaillé aussi bien avec des metteurs en scène tels que Jean-Pierre Vincent, Jean Jourdheuil, Bernard Sobel, Robert Gironès, Jacques Lassalle, Matthias Langhoff, Elisabeth Marie, qu’avec de jeunes metteurs en scène comme Arnaud Meunier, Agnès Bourgeois, Philippe Lanton et Vincent Goethals. Au cinéma, il a joué entre autres avec Kenneth Loach, Yves Boisset, Richard Dindo, Philippe Garrel, Jacques Audiard, Michel Piccoli, John Frankenheimer, Romain Goupil, Jean-Pierre Limosin, Antoine de Caunes, Philippe Leguay, Thomas Vincent, Anne Fontaine…

Bernard Bloch est membre fondateur de CAP, Coopérative Artistique de Production créée en 2003: la CAP réunit, à Montreuil, des artistes de plusieurs disciplines - théâtre, danse, cinéma, arts plastiques.

Lehaim sur CultureCie...

"Lehaim - à la vie !" dans "Théâtre"

Bernard Chartreux, Bernard Bloch, Martine Colcomb, Philippe Dormoy... Dans "Portraits & Bios"

Le théâtre sur CultureCie...


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24 mars 2007 6 24 /03 /mars /2007 00:26





















La musique sur CultureCie...

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23 mars 2007 5 23 /03 /mars /2007 00:22


Y a-t-il encore des images inédites des Beatles ? Oui, et c'est ce que rassemble le DVD "Unseen Beatles": des interviews, des photos, des archives de la BBC et des séquences de la dernière tournée américaine du groupe légendaire.

A noter...

Sortie le 30 mars 2007
14 euros
DVD région 2
Chez Libération / Pias
Lien Amazon

Voir aussi sur CultureCie...

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22 mars 2007 4 22 /03 /mars /2007 02:21


1963. Paul Marleau a seize ans lorsqu’il rencontre la jeune Clara lors d’un séjour linguistique en Bavière. Elle, qui porte déjà sa caméra en bandoulière, est la fille d’un ancien docteur de la Wehrmacht. Lui, il a perdu son père à la fin de la guerre. Les deux adolescents ressentent une attirance peu commune. Bientôt ils s’effleurent et se racontent… Dans le village de Clara, il s’est passé  un drame terrible. Paul n’oubliera jamais l’histoire racontée ; Clara, celle de son berceau. Il sera toujours amoureux de la belle, indomptable et inclassable jeune femme. Ils se retrouveront souvent au cours de leurs vies d’artistes. Elle devient une célèbre photographe ; lui, un sculpteur reconnu. Mais tous deux sont ravagés par le Mal d’avant, le Mal des autres, celui qui devient leur propre douleur.

 

Après la guerre, la paix, certes, mais suffit-il de la signer pour qu’elle arrive ? Les dommages restent et les enfants de la guerre, ou de l’après guerre, peuvent subir les silencieuses et non moins atroces souffrances de leurs parents qui, pour se reconstruire… ont fondé des familles…

 

Ces deux là, très jeunes, se sont reconnus, unis dans une douleur secrète qu’ils domineront seulement dans l’accomplissement de leur art. Unis mais pas ensembles, ensembles mais  malades, chacun trouvant son docteur, jamais la guérison.

 

Un très beau livre, grave, et à aucun moment ennuyeux. Le rire de l’ogre était autrefois un conte pour enfants. Il s’est étrangement réalisé dans cette petite ville bavaroise…

Extraits choisis...

 

« … Ne pensez pas à l’âme comme à un cœur, un noyau, une essence… Mais comme à des combinaisons possibles… Il n’y a pas d’être, mais des devenirs qui dépendent de basculements aléatoires, aussi légers que des flocons de neige… Ne cherchez plus de cœur, ne cherchez pas de noyau. Il y a des centres, nombreux, tous décentrés… Tous influents. Et chaque individu est singulier, à la fois irremplaçable et pas du tout nécessaire. Comme n’importe quel déchet, n’importe quelle œuvre d’art, n’importe quel crime ! Acceptez donc de considérer chaque individu comme une … énigme… Oui, une énigme ! Chaque homme est une question dont la formulation ne peut être que très étrange. D’ailleurs, sans énigme, pas d’amour ! Tout ce que je peux vraiment aimer chez l’autre, c’est précisément son énigme, l’interrogation qui le vide et qu’il triballe partout, et qu’il ne saura jamais formuler lui-même et que je suis encore moins capable de formuler à sa place ! » (page 216)

 

« Du passé des êtres les plus proches, voire de leur vie entière, on ne retrouve jamais que des lambeaux pleins de silence et de poussière, comme quand on ouvre des placards contenant des vêtements démodés, dépareillés et quelques traces au fond des poches, vieux tickets, notes de restaurants disparus, pièces de monnaie qui n’ont plus cours et autres brindilles d’une existence effacée. (page 242)

 

« Tu vois, Phil, je voudrais que la chose que je sculpte, on ait envie de la «  toucher  » avec les yeux ! Toi comme moi, on trime, on palpe, on touche, on tâte. On porte des coups terribles : ça s’ouvre, ça se brise, mais on caresse aussi, on frotte, on frictionne. Ceux qui voient l’œuvre finie, pas besoin qu’ils touchent, eux… La sculpture doit donner naissance à un nouveau « regard tactile », une façon d’éprouver le vide et le plein, la matière et l’espace, le grain des choses et le flux qui passe entre les choses. Et pour toucher avec les yeux il faut du recul, un recul intérieur. Il faut aussi savoir regarder en bougeant, tu ne crois pas ? Inventer une façon de bouger. » (page 293) 

 

« Sous la chair et la peau des visages, elle guette des signes d’effroi, des signes de cruauté. Elle traque l’absurdité. La grimace visible du Mal. Elle braque son objectif – quel drôle de terme quand on y pense…- sur la gueule de ceux qui vont tuer ou qui vont l’être. Elle cherche. Elle voit. Mais au fond je crois qu’elle ne voit rien du tout !...

 

Quand elle rentre et vient nous rejoindre, c’est qu’elle n’en peut plus, vous savez. Elle rentre parce que ses petits rouleaux de pellicule lui pèsent comme des cailloux qui l’entraînent vers un fond bourbeux. Jusqu’ici, par chance, elle s’en est sortie… » (page 313)

Infos...

Chez Gallimard
307 pages
Sortie: août 2005
18 euros
Lien Amazon

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