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CULTURE & CIE

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CULTURE CIE & VOUS

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26 octobre 2006 4 26 /10 /octobre /2006 17:50


Par Stéphane Davet




"J'écris pour ceux qui ne se retrouvent pas dans ce qui passe à la radio." John Legend ajoute : "J'adore le rap pour faire la fête, mais une fois chez moi, je recherche d'abord une belle voix, une belle mélodie." A partir de ce credo, le pianiste et chanteur américain de 27 ans est devenu un phénomène, capable de vendre plus de 5 millions d'exemplaires de Get Lifted, son album paru en 2004.


John Legend est un artiste urbain. Par son affabilité, sa finesse, son élégance sans ostentation plus que par ses connexions avec les musiques de rue des grandes cités américaines. Il sera à l'Olympia le 15 décembre, et son nouvel album, Once Again, vient de paraître dont les chansons sont d'une chaleur organique, en quête d'âme. Il se démarque franchement d'une culture hip-hop et r'n'b qui, ces dernières années, affiche ses obsessions matérialistes, son goût de la frime et de la technologie numérique." Lire la suite...

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26 octobre 2006 4 26 /10 /octobre /2006 07:17
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26 octobre 2006 4 26 /10 /octobre /2006 00:05


"Il y a deux obcénités en photographie:
l'art et le bon goût."

Après avoir passé son enfance en Allemagne, Helmut Newton s'installe en l'Australie à l'âge de vingt ans. Il travaille alors comme photographe indépendant pour 'Vogue' à partir de 1945. En 1957, il s'envole pour Paris et collabore aux plus grands titres de la mode : le 'Jardin des modes', 'Elle', 'Queen', 'Playboy', 'Nova', 'Marie-Claire', 'Stern', sans oublier les éditions française, italienne, américaine, anglaise et australienne de son plus fidèle magazine, 'Vogue'. Newton travaille beaucoup mais n'est pas encore célèbre. Son style s'affirme véritablement dans les années 70 et est largement diffusé par 'Vogue - France'. Mode, sexe et pouvoir se mêlent dans des clichés qui n'ont pas fini de faire parler d'eux. Les féministes s'indignent tandis que les admirateurs y voient la sensualité féminine, mais Newton ne cache pas son intention provocatrice. Un décor luxueux, un accessoire inaccessible (avion, villa...) et une femme dénudée au corps glacé, telle est la recette d'Helmut Newton, qui n'est pas sans inspirer de nombreux photographes. Il publie son premier livre en 1975, et ne cesse depuis d'enchaîner expositions et rétrospectives (au musée d'art moderne de la Ville de Paris en 1984, entre autres). Il meurt à Hollywood le 23 janvier 2004 d'un accident de voiture.












L'influence de ses débuts

Newton commence la photo alors qu'il n'a que 16 ans : il travaille en tant qu'assistant du photographe berlinois Yva, célèbre pour ses clichés de mode, ses portraits et ses nus. C'est peut-être là que Newton a puisé son inspiration...

Première expo

En 1975, Helmut Newton donne sa première exposition personnelle, à la Galerie Nikon, à Paris.

Premier prix

Newton est récompensé pour la première fois par le métier en 1976 : il reçoit le prix du meilleur photographe de l'année, remis par le "Art Directors Club", à Tokyo.

Premier livre

Son premier ouvrage "Femmes Blanches" est récompensé en 1977 par le prix de l'Institut Américain des Arts Graphiques.

Newton et les ministres français

En 1989, Newton est nommé Chevalier des Arts et des Lettres par Jack Lang, alors ministre de la culture. La même année, le premier ministre, Jacques Chirac, lui remet le Grand Prix national de la ville de Paris. Un an plus tard, c'est encore Jack Lang qui lui décerne le Grand Prix national de la photographie.

Derniers honneurs

En 1992, la RFA le récompense et la même année, la Princesse Caroline de Monaco le nomme Chevalier des Arts, des Lettres et des Science.

Voir aussi sur CultureCie...

"Sumo" & "Helmut Newton by Helmut Newton" dans "Beaux livres".

"Heartgalery met la photo dans tous ses états" dans "Expositions"

Le dernier livre & l'expo photo de David Hamilton...


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26 octobre 2006 4 26 /10 /octobre /2006 00:00

Actualité des noctambules...

Il suffit d'écouter un vieux morceau de Benny Goodman pour comprendre que le swing déclenche des envies de danse. C'est un collectif de djs et remixeurs des plus pointus, amateurs de house, disco, maîtres de l'électro comme Romain BNO, Joakim (Tigersushi), GreensKeepers ou Lindstrom qui se sont replongés dans le son des années 20, 30 et 40 pour réinventer un swing du renouveau, digne des caves de New Orleans, New York ou St-Germain. Un véritable bonheur, dans la veine des titres les plus dansants des compilations Costes.

A noter...

En vente chez Colette
213 rue Saint-Honoré 75001 Paris

Tel : 01 55 35 33 90
Ouvert du lundi au samedi de 11h à 19h
Métro Tuileries ou Pyramides

Egalement disponible sur le eshop de Colette


En libre écoute sur  www.myspace.com/gswingrecords

La musique électro sur CultureCie...

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25 octobre 2006 3 25 /10 /octobre /2006 23:00


Par Valérie Duponchelle

"La 33e Foire internationale d'art contemporain se réinvente en deux lieux sur un même axe, de la Cour Carrée du Louvre au Grand Palais, en passant par le jardin des Tuileries. Visite d'un chantier historique à J-7 de son ouverture au public.

Mince à l'extrême, presque hâve dans son uniforme d'étudiant chic – jean, veste noire, Weston noires et cabas de cuir noir –, Martin Béthenod, jeune commissaire général de la Fiac, a le sérieux de l'athlète avant les JO. Pâle comme une actrice du muet, drapée d'une longue redingote violette bordée de fourrure noire comme une diva pour son grand rôle, Jennifer Flay, directrice artistique, a l'excitation volubile de l'enfant voyant son rêve réalisé. Le duo qui en trois ans a bouleversé les habitudes de la Fiac (Foire internationale d'art contemporain), l'an dernier encore exilée à la Porte de Versailles, danserait presque de joie sur la plate-forme de bois qui recouvre la fontaine classée, au centre de l'immense Cour Carrée du Louvre."  Lire la suite...

Ouvert au public du jeudi 26 au lundi 30 octobre. www.fiacparis.com – Billets coupe-file sur www.france-billet.com et www.ticketnet.fr

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25 octobre 2006 3 25 /10 /octobre /2006 15:41
"Suivez-moi voulez vous. Allons refaire le monde...

Quand bien même il avance... Le destin attendra."



























Un timbre qui n'est pas sans rappeler celui de Raphaël, des textes tantôt simples et doux, tantôt caustiques et provocateurs, des mélodies qui oscillent entre un accent mélancolique et un ton vieille France... Barcella est un artiste à découvrir, incontestablement. En attendant l'interview, CultureCie vous invite à découvrir le monde de Barcella en cliquant sur son image: l'atterrissage se fera en compagnie de "Mademoiselle", le dernier titre de cet artiste prometteur.

CultureCie vous conseille...

"Mademoiselle", extrait de "L'Air du temps".

"Coccinnelle", extrait du "Manège enchanté".
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25 octobre 2006 3 25 /10 /octobre /2006 02:43
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"La métaphysique se joue dans les rapports éthiques."


Ouvrage majeur de Levinas, "Totalité et infini" dénonce les travers de la métaphysique occidentale. Mais à travers l’histoire de la philosophie, c’est tout l’occident que Levinas interroge, s’indignant de cette pensée englobante qui aliène l’autre pour toujours totaliser. Cette obsession place la liberté avant l’éthique, l’ontologie avant la métaphysique. C’est ce primat qu’il compte renverser ici, en affirmant la transcendance de l’Autre à travers la hauteur et l’humilité du Visage.

Extraits choisis...

"L'établissement de ce primat de l'éthique, c'est-à-dire de la relation d'homme à homme - signification, enseignement et justice -, primat d'une structure irréductible à laquelle s'appuient toutes les autres (...) est l'un des buts du présent ouvrage." (p.77)

"La "communication" des idées, la réciprocité du dialogue, cachent déjà la profonde essence du langage. Celle-ci réside dans l'irréversibilité de la relation entre Moi et l'Autre, dans la Maîtrise du Maître coïncidant avec sa position d'Autre et d'extérieur. Le langage ne peut se parler, en effet, que si l'interlocuteur est le commencement de son discours, s'il reste, par conséquent, au-delà du système, s'il n'est pas sur le même plan que moi. L'interlocuteur n'est pas un Toi, il est un Vous. Il se révèle dans sa seigneurie.l'extériorité coïcinde donc avec une maîtrise. Ma liberté est ainsi mise en cause par un Maître qui peut l'investir. Dès lors, la vérité, exercice souverain de la liberté, devient possible." (p.104)

Informations...

Date de publication : 1990 pour cette édition
Editeur : LGF
Prix : 7.32 Euros

Voir aussi sur CultureCie...

"Etre juif" de Benny Lévy.

"Chroniques d'un buveur de lune" de Morad El Hattab.

 

 

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Cet article a été complété à partir de ce que l'auteur avait rédigé pour Evene.fr.


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25 octobre 2006 3 25 /10 /octobre /2006 00:32

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Serge Raffy signe une biographie de Castro qui sort des sentiers battus. Sans concession, le journaliste s’est jeté à corps perdu dans une enquête qui a le mérite de ne pas mâcher ses mots. En professionnel de l’investigation, l’auteur a fouillé les archives et a bousculé l’histoire comme la légende pour nous livrer une foule de nouvelles informations. Une initiative difficile au résultat inattendu.


La Presse en a parlé...


"C'est une biographie saisissante de Fidel Castro que vient d'écrire Serge Raffy... Personne n'avait tenté avec autant de force et de travail de rendre compte du destin du maître des illusions perdues qu'est le leader cubain." L'Express, Michel Faure (13/10/2003)


"Une biographie flamboyante (...) du journaliste d’investigation Serge Raffy arrive à point nommé pour revisiter la légende." Le Nouvel Observateur, Catherine David (13/10/2003)


A lire aussi sur CultureCie...

 

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25 octobre 2006 3 25 /10 /octobre /2006 00:06
Bonjour,

J'ai visité votre site et je le trouve très réussi.

Vos articles sur les expositions sont très bons, vos propos sur l'art... Vous en parlez bien.

Seriez-vous intéressée par une collaboration ? Je serais ravi de publier vos articles consacrés à l'art ou à des expositions...
 
Bien cordialement.

A très bientôt peut-être,

Thibault d'Aubigny, créateur de www.art-marche.com
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24 octobre 2006 2 24 /10 /octobre /2006 02:57

 


"La transparence est une notion pour laquelle l'extraordinaire diversité des acceptions s'accompagne d'une ambiguité fondamentale."

Depuis une dizaine d’années, on a pu remarquer un réel engouement de l’opinion publique pour la notion de « transparence » : le gouvernement, les dirigeants, les comptes des entreprises, les salaires des patrons, les programmes des partis politiques, les émissions de télévision, les sources des journalistes… Autant de domaines auxquels s’applique un idéal de transparence diffus.

Mais qu'est-ce, exactement, que la transparence? Un idéal démocratique vers lequel il faudrait tant bien que mal essayer de tendre, fût-il impossible à atteindre? Ou bien au contraire l'incarnation d'une société si bien décrite par George Orwell, où la démocratie aurait disparu derrière une transparence totale? L'un et l'autre, justement. La transparence étant toujours transparence de quelque chose, elle est toujours relative à un objet, en fonction duquel elle peut prendre les formes les plus lumineuses ou les plus sombres. En elle même, la transparence ne dit rien d’autre que l’invisible. L'imprenable. C'est pourquoi, si nous ne voulons pas qu'elle nous échappe, il faut revenir sur ses vertus et ses vices afin, au moins, de comprendre son ambivalence.

Si la transparence a pu être un idéal moteur dans le développement des démocraties, poussé à son paroxysme, cet impossible peut se révéler dangereux pour nos libertés. Au travers d'exemples tirés de l'architecture, des médias, de l'entreprise ou encore de la scène politique ou juridique, Thierry Libaert dresse un excellent tableau des paradoxes de la transparence. Synthétique et limpide, l'ouvrage se lit facilement, et redonne à penser nos idéaux et nos réalités.

 

Quleques citations...

« Le raisonnement est logique : l’opacité dissimule, donc elle est au mieux suspecte, généralement coupable. »

 

« L’affirmation que tout peut être vu, photographié, imprimé est, derrière une apparence de liberté, une ouverture aux pouvoirs économiques des médias. »

 

« La transparence en actes est une transparence accueillie, reconnue, ce qui la distingue de la transparence en puissance, transparence voilée et solitaire, transparence sans spectateur. »

 

« L'écrit intime enseigne déjà les limites de la transparence. »

« Le régime totalitaire exige une transparence absolue du corps social, mais sa gouvernance est opaque. »

A lire aussi sur CultureCie...


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