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CULTURE & CIE

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CULTURE CIE & VOUS

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8 janvier 2008 2 08 /01 /janvier /2008 05:01

Formé par Julie Saget, Jean Périmony puis par Jean-Laurent Cochet, sous la direction de qui il a participé à de nombreux spectacles poétiques (La Fontaine, Colette…) Arnaud Denis, qui est bilingue, a aussi joué en anglais "Hamlet" de Shakespeare et "L’Importance d’être Constant" d’Oscar Wilde
durant ses études dans le New Jersey.

Il a été élève au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris, dans la classe de Dominique Valadié .

Il fait ses véritables débuts en scène dans "La Mouette" (rôle de Tréplev) au Théâtre du Nord- Ouest à Paris. En 2003, avec sa nouvelle compagnie Les Compagnons de la Chimère, il met en scène et joue "Harold et Maude" de Collin Higgins, puis "Les Fourberies de Scapin" au Théâtre du Ranelagh. Cette même année, il crée et joue aussi, seul en scène, au théâtre du Guichet Montparnasse, un montage de sa conception : "En visite chez La Fontaine".

Dès septembre 2004, il présente une nouvelle mise en scène de "La Cantatrice chauve" restée à l’affiche de septembre 2004 à fin avril 2006 (rôle du Capitaine des Pompiers).

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En mai 2006, il propose au Théâtre du Lucernaire à Paris sa mise en scène des Fourberies de Scapin dans laquelle il joue Scapin. Triomphe de la critique, et merveilleux accueil public. Le spectacle continue d'ailleurs sa carrière en tournée à travers la France, la Suisse et la Belgique en 2008.

Au cours de la saison 2007, Arnaud a mis en scène et joué avec grand succès le rôle d’Oswald dans "Les Revenants d’Ibsen" au Théâtre 13.

Parallèlement à ses projets de théâtre, il agrémente son parcours de quelques rôles à la radio, au cinéma et à la télévision, notamment dans le plus récent téléfilm de Gabriel Aghion, "Monsieur Max", aux côtés de Jean-Claude Brialy. Il vient de tourner dans undefinedle dernier film d’Yvon Marciano, "Maintenant ou jamais" et dans "Elles et moi", sous la direction de Bernard Stora, pour France2.

Les Fourberies ayant remporté le premier prix des jeunes compagnies du Festival d'Anjou en juin 2007 - ce prix est doté d'une somme de 25 000 euros d'aide à la création pour un prochain spectacle - Arnaud Denis revient avec ses compagnons de chimère pour jouer L'Ingénu, de janvier à mars 2008 au Vingtième théâtre.

Les compagnons de la chimère sur CultureCie...

Arnaud Denis
Géraldine Azouélos
Jacques Ciron
Alexandre Guansé

Denis Laustriat

Jean-Pierre Leroux
Monique Morisi

Romane Portail
Les Compagnons de la Chimère
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8 janvier 2008 2 08 /01 /janvier /2008 01:37
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En janvier 2008, Sylvie Boutet expose ses photos de danseuses, un travail féminin sur la lumière et la matière.

A noter...

Exposition de Sylvie Boutet
Photographies "Danseuses, la lumière et la matière"

Manoir du Paris Golf et Country Club
84,avenue de Fouleuse 92500 Rueil Malmaison
0147 77 64 00

http://www.sylvieboutet.com

Les expos sur CultureCie...


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8 janvier 2008 2 08 /01 /janvier /2008 00:10
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Ce spectacle est présenté dans le cadre de la programmation 2008 de la maison de la poésie, « Un Hiver amoureux ».

Note d'intention de Claude Guerre...

Homme marié, écrivain déjà célèbre en Europe comme en Amérique, Oscar Wilde est condamné à deux ans de travaux forcés le 25 mai 1895, après un procès où des intérêts de classe concordent avec la répression de l’homosexualité. Il purge sa peine dans la prison de Reading, dont le régime est réputé dur. Il y écrit le De Profundis, longue lettre adressée à son amant Lord Alfred Douglas. Il y est le témoin des derniers jours sur la terre de Charles Thomas Wooldridge, âgé de trente ans, condamné à la pendaison pour avoir tué sa femme, et exécuté dans cette même prison.

A sa sortie, il compose son œuvre ultime, The Ballad of Reading Gaol, qui est publiée en 1898 sous son numéro matricule de prisonnier C.3.3., et dédiée au condamné : « In Memoriam C.T.W., un certain temps soldat au Royal Horse Guards ».

L’intérêt et le succès - en témoigne la traduction de Davray - sont immédiats, alors même que l’auteur dramatique, le romancier - et l’auteur d’une Salomé écrite directement en français -, est devenu, après sa sortie de prison, un exilé peu ou prou parasite de ses amis continentaux. Il meurt en 1900, à quarante-six ans, est enterré à Paris, au cimetière du Père-Lachaise. Une déclaration signe à sa façon une sorte de conversion de l’esthète Wilde : « J’étais heureux en prison parce que j’y avais trouvé mon âme… Ce que j’ai écrit avant n’était rien auprès de ce que j’ai écrit guidé par mon âme ».

On n’écoute pas impunément "La Ballade de la Geôle de Reading". Elle m’a bouleversée adolescente alors que mon père la lisait simplement à voix haute dans la prose rythmée de la première traduction française, approuvée par Wilde lui-même. J’y entendais au moins la véhémence et la pitié, j’en comprends mieux aujourd’hui la part de plaidoyer en faveur d’une réforme pénitentiaire et la réflexion sur la peine de mort dans l’Angleterre victorienne. Si la seconde est abolie, la prison demeure un lieu de malheur. Le poème de Wilde est plus encore : une méditation, très circonstanciée et actuelle à la fois, sur la vie, la mort, l’amour, une Passion, et, comme le dit Henry Davray, une « sombre rêverie entrecoupée et furieuse qui met en scène un drame, le vrai drame de la Ballade : non pas l’histoire, en tant que récit, du soldat ivre qui fut pendu pour avoir tué sa femme, mais celle, d’entre les âmes en peine qui tournent autour de la cour de la prison, pour qui la pendaison d’un homme a le plus de signification ».

Extraits choisis...

Pendant six semaines, notre soldat fit sa promenade dans la cour, en son costume d’un gris râpé : sur sa tête, sa casquette de cricket, et son pas semblait léger et gai, mais jamais je n’avais vu un homme fixer aussi intensément le jour.

Jamais je ne vis un homme regarder avec un œil aussi intense vers cette petite tente de bleu que les prisonniers nomment le ciel, et vers chacun des nuages errants qui traînait sa toison enchevêtrée.

Il ne tordait pas ses mains, comme font ces hommes insensés qui osent essayer de faire vivre l’Espérance, cet enfant maudit, dans le caveau du noir Désespoir : il ne regardait que le soleil et buvait l’air du matin.

Il ne tordait ses mains ni ne pleurait et pas même se chagrinait, mais il buvait l’air comme s’il avait contenu quelque vertu anodine ; à pleine bouche il buvait le soleil comme si c’eût été du vin.

Traduction Henry-D. Davray (Mercure de France, 1898)


A noter...

La Ballade de la geôle de Reading
Textes d'Oscar Wilde
Traduction Henry-D. Davray parue au Mercure de France, 1898.
Le texte est disponible dans la traduction de Paul Bensimon et Bernard Delvaille dans la collection Folio 2 euros, chez Gallimard. 

undefinedMise en scène par Céline Pouillon
Avec Stanislas Nordey et Julie Pouillon

Musique: Siegfried Canto

Du 1er au 17 février 2008

Maison de la Poésie – Grande salle
Passage Molière
157, rue Saint-Martin 75003  Paris
Métro Rambuteau – Les Halles


Du mercredi au samedi à 19 h, dimanche à 15 h (relâche lundi, mardi et les 13 et 16 février)
De 10 à 20 euros
Durée du spectacle : 1 h 15

Les représentations du mercredi 13 février à 19h et du samedi 16 février à 19h sont remplacées par une lecture d’extraits du De Profundis d’Oscar Wilde par Christian et Céline Pouillon.

Renseignements et location : 01 44 54 53 00 www.maisondelapoesieparis.com

Voir aussi sur CultureCie...

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8 janvier 2008 2 08 /01 /janvier /2008 00:00
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Isabelle Malmezat expose régulièrement en France et à l'étranger. Depuis 2000, elle illustre des livres, allant de la littérature pour enfants à des anthologies de la poésie française. Ses peintures, à la fois naïves et abstraites, valent le détour. Elle expose à la Galerie Vendôme au mois de janvier 2008.

A noter...

Exposition du 5 au 31 janvier 2008
Galerie Vendôme
Cour du 12 rue de la Paix - 75002 Paris
Vernissage le 8 janvier 2008 de 17h à 21h

Exposition permanente
Denise Robergé Art Gallery
Palm Desert, Californie, USA

http://isabellemalmezat.free.fr 

A voir aussi sur CultureCie...

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7 janvier 2008 1 07 /01 /janvier /2008 06:42

Au théâtre…

Entre ses débuts au Palais-Royal dans « 25 ans de bonheur », où elle incarnait la fille de Denise Grey, la création de « Compartiments fumeuses » à la Mare-au-Diable en 1994 et « Une petite Merveille » de Joëlle Fossier en 2005, Monique Morisi a joué sur de nombreuses scènes parisiennes. Les théâtres Ambigu, Daunou, Lucernaire, Mathurins, Palais-Royal, le Palais des Sports, le Studio des Champs-Elysées ou encore le Théâtre des Arts l’ont accueillie.

Elle est tour à tour Elvire dans « Dom Juan » de Molière sous la direction de Stellio Lorenzi ; Phenice dans « Les Serments indiscrets » de Marivaux aux côtés de Danièle Lebrun et de Gérard Lartigau, dans une mise en scène de Maurice Guillaud. Elle a également endossé le rôle de Catherine dans « Catherine au Paradis », avec Claude Nicot, sous la direction de Gabriel Lauzin. Elle campe la suivante de Mary Marquet dans « Ainsi va le monde » aux côtés de Michel Duchaussoy, puis la Génousienne dans « Génousie » de René de Obaldia. Robert Hossein l’a dirigée dans « L’Affaire du Courrier de Lyon ».
En 2008, elle est dans le sublime "Ingénu" de Voltaire, adapté par Jean Cosmos et mis en scène par Arnaud Denis.

Films & cie…

Au cinéma, elle tourne sous la direction de Michel Audiard, Sergio Gobbi, Pierre Granier-Deferre, André Halimi, Alain Jessua, Guy Lefranc et Patrick Schulman.

A la télévision, Stellio Lorenzi la fait débuter dans « Le mari, la femme et la mort » d’André Roussin, aux côtés de Bernard Blier. Elle interprète également de nombreux rôles dans la série "La caméra explore le temps" et "Au Théâtre ce soir".

A la radio, elle a participé à des émissions hebdomadaires et Monique Morisi a aussi prêté sa voix à diverses vedettes anglaises et américaines.

Les compagnons de la chimère sur CultureCie...

Les Compagnons de la Chimère
Arnaud Denis
Géraldine Azouélos
Jacques Ciron
Alexandre Guansé

Denis Laustriat

Jean-Pierre Leroux
Romane Portail


Au théâtre sur CultureCie...

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7 janvier 2008 1 07 /01 /janvier /2008 02:09
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L'exposition "La revanche des genres" présente le travail d'une vingtaine d'artistes originaires ou vivant sur le territoire australien, qui examinent les notions de frontières et de genres. Cette sélection nous plonge avec humour dans la découverte de différentes ontologies, entre mythes délaissés et rêves célébrés. L'exposition, qui a lieu du 10 janvier au 3 février 2008 à la Cité Internationale des arts, à Paris, est destinée à un large public européen. Elle présente des artistes reconnus et émergents dont certains exposent pour la première fois en Europe. 

Longtemps méconnu, ou tout au mieux considéré comme une production artisanale folklorique et locale, l’art des Aborigènes émergea en Australie il y a quelque soixante mille ans et depuis, n’a jamais cessé d’évoluer au gré de l’histoire.

Si deux siècles d’oppression coloniale et de politique d’acculturation ont profondément modifié les groupes aborigènes, les privant de leurs terres, de leurs droits, de leurs langues, de leurs coutumes et de leur liberté, la culture et l’identité aborigènes se sont maintenues grâce à d’extraordinaires capacités d’adaptation et de créations, au point qu’on parle aujourd’hui de l’art aborigène contemporain comme l’un des courants artistiques les plus importants du XXème siècle.

Les arts aborigènes contemporains se sont largement développés dans les années 1970, d’abord dans le désert central puis dans toutes les communautés, émergence qui répond à un souci de prolongement d’un patrimoine esthétique, culturel, politique et social. Au corps, au sable, à la roche et à la parole viennent s’ajouter la photographie, la vidéo et le net, décloisonnement des genres modifiant progressivement la fonction première de l’art aborigène où il était davantage question de transmission que d’exposition…

Si les rituels perdurent dans les communautés, les formes artistiques présentées sur des médias permanents (acryliques sur toile, photos argentiques, vidéos, installations…) sont des réponses et des appels lancés aux populations non-aborigènes pour engendrer un dialogue interculturel et un véritable lien humain. Les arts aborigènes furent toujours, et plus encore aujourd’hui, au coeur des échanges culturels dans la zone Asie-pacifique.

Cette exposition rend compte de ces liens, entre artistes de toute origine, nés ou travaillant sur le territoire australien. L’exposition interroge les notions de frontières, de nationalité, d’héritage culturel et la pertinence de catégories et de genres tels que l’art aborigène, l’art premier, l’art australien...

De la même manière que Levinas a introduit, en philosophie, une réflexion sur la lecture de l'histoire de la philosophie occidentale, "La revanche des genres" introduit une réflexion sur les constructions intellectuelles dans le monde de l’art, et la manière dont certains genres sont à la fois promus par les institutions et en même temps exclus de l’histoire de l’Art.

L’exposition
présente différentes tactiques utilisées par les artistes pour résister, lutter, jouer, contrôler ou se démarquer de ces catégories restrictives. En mettant notamment l’accent sur la contemporanéité de la création artistique du Pacifique et son intégration récente dans le monde de l’art contemporain international, cette exposition destinée à un large public européen présente des artistes reconnus et émergents dont certains exposent pour la première fois en Europe. Parmi eux on peut citer Tracey Moffatt, Dacchi Dang, Archie Moore ou Rosella Namok. L’originalité et la qualité plastique de leur travail les placent comme les représentants de l’avant-garde artistique du Pacifique.

undefinedA noter...

Du 10 janvier au 3 février 2008.
Cité Internationale des arts
18 rue de l'Hôtel de Ville
75004 Paris

Ouvert tous les jours de 14h à 19h.
Entrée gratuite

 
Table-ronde d'artistes le mercredi 9 janvier de 16 à 18h
Vernissage le mercredi 9 janvier de 18h00 à 20h30

Cycle de conférences et de projections de films. Visites guidées sur demande. Accessibilité aux personnes handicappées.

L’exposition, co-produite par l’association Diff’Art Pacific et la société Aïnu, est soutenue par l’ambassade d’Australie, le gouvernement du Queensland (QIAMEA) et le ministère des arts australiens.

Renseignements sur www.diffart-pacific.com

La revanche des genres sur CultureCie...

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L'art aborigène sur CultureCie...

Lena Yarinkura et Bob Burruwal ou l'art aborigène de la fibre

Ningura Napurrala dans "Portraits & Bios"

Hommage à l'art aborigène, exposition 2007 à la galerie d'art klein



A voir aussi sur CultureCie...


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7 janvier 2008 1 07 /01 /janvier /2008 00:52
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La peinture de Lewigue revendique l'héritage de l´abstraction lyrique qu'il vit comme le prolongement naturel de son corps et de sa pensée. Le geste qui métamorphose, qui pulvérise la profondeur du tableau, celui par lequel il matérialise une présence, relève simultanément de l´invention plastique et de la poésie.

Lewigue recourt au langage immédiat du signe et de la couleur et travaille dans une état de tension engendrant des déflagations qui se frayent un passage pour dialoguer avec de savoureux aplats repris par un pinceau, amoureux d´une matière onctueuse. Sur ces fonds apaisés, ocre, blanc, mauve ou bleu, des béances lumineuses galvanisent l'espace originel et réveillent la surface assaillie par le noir.

Ce noir force notre regard. Couleur dominante chez Lewigue, il condense toute l´énergie du geste pour nommer l´invisible. En accord avec sa méditation formelle, Lewigue tente de juguler la respiration cosmique dont il transcrit les mouvements de diastole et de systole. Entre épiphanie et cataclysme, entre fluidité et matité, la peinture de Lewigue inscrit un langage nouveau dans un espace résistant et utopique.

A noter...

Exposition consacrée à Lewigue (1938-2005)
Capitale Galerie
18 rue du Roule 75001 Paris

Du 7 au 26 janvier 2008
Du lundi au samedi de 11h à 13h et de 14h à 19h30
Vernissage le mardi 8 janvier à partir 18h


01.42.21.19.31
www.lacapitalegalerie.com


Les expos sur CultureCie...


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7 janvier 2008 1 07 /01 /janvier /2008 00:50
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"C'est la recherche d'un sommet où les couleurs, les formes et les matières résonnent entre elles dans ma perception visuelle."

Ogawa Yoshio est né à Fujiéda au Japon. Il est diplomé d'un  Master de l'Université Nationale des Beaux-Arts de Tokyo depuis 1990. Il expose très régulièrement, à Paris, en région parisienne, à Tokyo ou à Osaka. Cette saison, il est à la
galerie d'art klein, du 3
au 27 janvier 2008.

Sur des toiles très colorées se dessinent toujours une forme, peut-être quelque chose d'identifiable, peut-être pas. C'est abstrait. C'est un paysage. Peintre de la couleur, Ogawa Yoshio cherche à reproduire sur la toile les "paysages du fond de sa mémoire."

"Il ne s'agit pas seulement du monde visible, mais toutes les "images" perçues par les cinq sens ; les odeurs, la température, l'humidité, les sons, le toucher, etc. Je travaille manuellement avec des instruments simples comme des pinceaux, brosses ou couteaux , afin d'exprimer le plus directement possible ma propre "vie", confie-t-il. Le "hasard" est aussi très important dans mon travail. Parce que les couleurs et les formes qui naissent du hasard surgissent hors de la conscience, elles sont riches d'imprévisible."

Imprévisible comme un "Fruit défendu" (ci-dessus), comme une "fenêtre ouverte" (ci-dessous), comme... une métaphore. "Pour moi, peindre un tableau est, à travers les couleurs et les formes qui y apparaissent, chercher à saisir par tâtonnement la substance sans cesse vacillante de mon "être". La peinture est cette réalité, elle en est la substance même. Même si ma propre vie ne peut participer qu'un court instant à ce monde, je veux projeter cet instant directement dans mes oeuvres. J'aimerais être un simple outil à peindre."


fenetre-ouverte-2006.jpgA noter...

Du 3 au 27 janvier 2008

galerie d'art klein
2 rue Marguerite Renaudin 92300 Sceaux
Accès RER B station : Sceaux.

Ouverture du mardi au samedi
10h30-13h00 et 15h00-19h00
Le dimanche de 10h30-12h30 et 15h30-18h00
01 47 02 10 62

www.galeriedartklein.com


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6 janvier 2008 7 06 /01 /janvier /2008 06:36

Jacques Ciron appartient au noyau de la troupe "Les Compagnons de la chimère", formée par Arnaud Denis.

Au théâtre…

Formé par Andrée Bauer-Thérond et Maurice Escande, Jacques Ciron fait ses débuts au théâtre Michel dans « Quarante et quatre ». Il joue ensuite dans de nombreuses pièces, parmi lesquelles « Chérie noire », « Adieu Berthe », « Dr Jekyll et Mr Hyde », « Le saut du lit », « Lawrence d’Arabie », « Cyrano de Bergerac » mais aussi « César et Cléopâtre », « Ma femme m’appelle Maurice », « Folles de son corps », « La Présidente » ou encore « Trois partout ».

Il part en tournée mondiale avec « Le Misanthrope » et est applaudi aux Etats-Unis, en Australie, en Iran, au Liban, en Italie, en Suède, en Norvège et en Finlande. Dans les années 1960, à la Comédie-Française, il est l’assistant metteur en scène de Jacques Charon.

En 2008, il est dans le sublime "Ingénu" de Voltaire, adapté par Jean Cosmos et mis en scène par Anraud Denis.

Il participe plusieurs fois à l’émission « Au Théâtre ce soir », notamment celles qui ont été consacrées à « Chérie noire », « Interdit au public », « Baby Hamilton » et au « Procès de Mary Dugau ».

Films & cie…

Il tourne de nombreux films pour la télévision, parmi lesquels « Un Otage », « La Bande à glouton », « Monte-Carlo » (en anglais), « Un bon petit Diable », « L’Homme qui a perdu son ombre » ou encore le célèbre « Maigret » et les caves du Majestic.

Au cinéma, il tourne dans « Un Caprice de Caroline », « Le plus heureux des hommes », « Les hommes en blanc », « Les fruits de l’été », « Frantic et Manhold » (en anglais) et « Incontrôlable ».

Enfin, il prête sa voix à de célèbres personnages de dessins animés dont Babar et Batman.

Les compagnons de la chimère sur CultureCie...

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6 janvier 2008 7 06 /01 /janvier /2008 00:40
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Dès 1999, l'artiste propose les formes architecturales d'un univers faussement naïf, peuplé de constructions massives, colorées, denses et épaisses. Ses recherches le conduisent naturellement vers la composition pure des volumes. Débarrassée, épurée, l'abstraction pointe son nez.

Objets posés ? Etres vivants ? Alexis refuse la référence formelle et sollicite notre mémoire, bouscule notre inconscient, nous ouvrant son théâtre de formes inconnues, mais tellement familières.

S'anime alors une chorégraphie exubérante de formes portées par un rythme vivifiant, figures imbriquées cherchant à sortir de leur cadre.  Qui peut dire si le sujet principal du tableau est la figure ou le lieu, indissociables et dépendants l'un de l'autre, tels les mots et les silences.

Le peintre rejette le néant, redresse le chaos apparent, retrace l'horizon, nous donne du neuf, du jamais vu.

Alexis travaille la forme et l'espace comme un sculpteur. Il propose aujourd'hui, en parfaite harmonie avec ses peintures, des bronzes, terres, et autres boites aux trésors facétieux, véritables transpositions en trois dimensions de son univers pictural.

Fraikin1-3.jpgA noter...

Exposition d'Alexis Fraikin, Grands formats

Galerie Brun Léglise
51 rue de Bourgogne 75007 Paris
01 53 59 94 00
Du 08 au 19 janvier 2008

Les expos sur CultureCie...

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