2 avril 2009
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Comme scénariste, Tony Gilroy, auteur de films plus que moyens, serait à étiqueter « tordu ». Comme cinéaste, il verse carrément dans le torturé avec en sus la prime de l’incompréhensible sur toute la longueur de ses films. Son nouvel opus, alambiqué jusqu’à la nausée gâche le plaisir de retrouver Julia Roberts, pourtant toujours éblouissante.